
(253)
Moïse Katumbi décide de rester dans l’Union sacrée pour la nation, la plateforme dirigée par Félix Tshisekedi, révèle ce lundi 3 janvier 2022, le député national Eliezer Thambwe, cadre d’Ensemble pour la République sur la radio Top Congo FM.
Samedi 30 octobre dernier, Moïse Katumbi avait initié les consultations avec les instances dirigeantes de son parti et aussi avec ses partenaires et alliés politiques ainsi que des représentants des forces de la nation.
Au terme de cette série d’échanges, l’ex-gouverneur a décidé de rester dans l’Union sacrée, car, rappelle le député Eliezer Thambwe : « quand Moïse Katumbi initie les consultations, c’est pour avoir la position des autres. Il ne l’avait pas en poche, comme les gens le prétendaient. »
Une attitude que salue l’élu de Lukunga, parce que, explique-t-il, « ce qu’il a fait, c’est vraiment une preuve de démocratie et de maturité politique. Même nous qui étions consultés pensions qu’il avait déjà une décision dans sa poche ».
Cependant, la décision définitive sur ces consultations n’a pas encore été révélée. « Ça dépend de quel moment Moïse Katumbi voudra peut-être rendre publics les résultats de ces consultations. Est-ce que c’est important ? C’est lui-même qui en détient le secret. Mais, je pense que c’est au sein de sa famille politique qu’il doit s’exprimer ».
« Dans l’Union sacrée mais pas pour tout gober »
En attendant, Eliezer Thambwe relève qu’ « à Kisangani (dans la province de la Tshopo où il a dernièrement lancé son parti politique, Moïse Katumbi) a dit que nous sommes dans l’Union sacrée pas pour tout gober ».
Pour rappel, ces consultations ont été annoncées quelques jours seulement après que le président Félix Tshisekedi ait nommé les nouveaux dirigeants de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), entérinés par l’Assemblée nationale.
Pourtant, Moïse Katumbi – partenaire de Félix Tshisekedi dans le cadre de l’Union sacrée – avait adressé à ce dernier une correspondance le 19 octobre lui demandant de « rejeter purement et simplement » la liste des membres de la Commission électorale nationale indépendante. Selon lui, cautionner les irrégularités qui ont émaillé le processus d’entérinement des membres de la CENI « conduira inévitablement le pays vers un nouveau cycle de désordre ».
Mais Eliezer Thambwe reste convaincu que le « combat (de Moïse Katumbi) n’est pas contre les individus, pas contre Dénis Kadima, mais pour des élections libres, démocratiques et apaisées ».
Dominique Malala
Théophile Mbemba, l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire (ESU) quitte officiellement le PPRD, parti politique de Joseph Kabila dont il est co-fondateur et crée son propre parti dénommé « Alliance pour l’alternance et le progrès ».
« Nous nous sommes regroupés avec d’autres compatriotes pour créer un parti politique dénommé Alliance pour l’alternance et le progrès », a-t-il déclaré à la presse, expliquant que son parti est officiellement reconnu depuis le 24 décembre 2021. Ce n’est pas un parti de trop. Mais, souligne-t-il, nous voulons dire la vérité à notre population, mobiliser les compatriotes de bonne volonté qui sont interpellés par les antivaleurs qui ruinent notre société, interpeller la jeunesse ainsi que l’élite de pouvoir s’engager pour conduire notre pays vers sa destinée de dignité et de grandeur.
Dans cet ordre d’idées, Théophile Mbemba indique qu’il veut désormais « faire la politique autrement dans l’espoir de gouverner autrement ». Ainsi, poursuit-il, « notre action progressiste sera fondée sur des valeurs ».
Il précise que l’action de ce nouveau parti politique sera axée notamment sur des valeurs républicaines, des valeurs chrétiennes qui font défaut et qui font qu’aujourd’hui notre peuple perde le vivre ensemble qui est censé cimenter la solidarité qui doit exister au sein de la population Congolaise.
Le professeur Théophile Mbemba souligne également que « notre projet de société va s’articuler autour de quatre principaux objectifs notamment enraciner la démocratie citoyenne, redresser le système économique par des réformes qui feront que la croissance économique inclusive résiliente puisse être mieux partagée entre le peuple Congolais afin de réduire les inégalités et la pauvreté dans notre société ».
Mais aussi, « renforcer surtout la sécurité et garantir la défense du territoire national pour que la population Congolaise vive en paix ».
Pour le professeur Théophile Mbemba, « ce progrès passe impérativement par l’enracinement dans la culture politique Congolaise de cette réelle alternance démocratique qui entretient l’esprit de la continuité de l’État pour consolider les bonnes avancées antérieures, corriger les erreurs du passé et construire la nation ».
Dominique Malala
Le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a promis la prison aux personnes impliquées dans le détournement des fonds alloués au projet Tshilejelu. Il l'a déclaré lors de son adresse à la population de Kabinda, chef-lieu de la province de la Lomami, le mardi 28 décembre 2021.
Le Chef de l'État rappelle que le programme de construction des infrastructures est nécessaire au développement de la Lomami et que, insiste-t-il, s'ils [ceux qui exécutent le projet Tshilejelu, Ndlr] n'ont pas travailler, ils iront en prison.
« Je suis venu pour voir de mes propres yeux s’ils ont travaillé ou pas. S’ils n’ont pas travaillé, ils me doivent des explications pertinentes. Au cas contraire, ils iront en prison. Je poserai la question aux autorités provinciales qui avaient le devoir de surveiller ces travaux. Je veux un Congo nouveau, pas celui où les dirigeants au niveau des provinces, territoires détournent pour que le peuple continue à souffrir », a déclaré le président Félix Tshisekedi.
Il sied de signaler que 72 Km de voirie de la ville de Kinshasa sont concernés par le projet Tshilejelu qui s’étendra aussi dans l’Espace Grand Kasaï notamment à Mbuji-Mayi (25,32 km), Kabinda (10,5 km), Lusambo (10 km), Kananga (35 km), Mweneditu (5,5 km) et Tshikapa (15,39 km).
Fabien Ngueshe
Le gouvernement provincial du Sud-Kivu désapprouve l'organisation de la ville morte projetée dans la ville de Bukavu ce mardi 28 décembre 2021.
D'après les organisations et forces vives de la société civile, cette ville morte s'inscrit dans le cadre de protester contre les plans de balkanisation de la RDC et l'entrée sur le sol congolais des troupes étrangères.
Dans un communiqué rendu public ce lundi 27 décembre 2021, le gouvernement provincial du Sud-Kivu indique que la journée de ce mardi reste une journée de travail.
Le porte-parole du gouvernement provincial, Jérémie Basimane, qui signe ce communiqué, invite la population du Sud-Kivu à vaquer librement à ses occupations quotidiennes.
« En cette période de festivité, vu les situations socio-économiques et sécuritaire de la province, le gouvernement provincial ne trouve pas l'opportunité de l'organisation de ladite journée ville morte étant donné que les organisateurs n'ont pas révélé le vrai motif de leur manifestation », peut-on lire dans ce document.
Il sied de rappeler que le bureau de coordination de la société civile a appelé à une journée ville morte ce mardi au Sud-Kivu en général et à Bukavu en particulier pour fustiger l'entrée des troupes étrangères en République Démocratique du Congo.
Déogratias Cubaka, à Bukavu
L’Assemblée nationale a entériné, ce jeudi 23 décembre, les candidats aux postes vacants du bureau ainsi que de la plénière de la commission électorale nationale indépendante (CENI) réservés à l’opposition. Ce, après avoir déclaré recevable le rapport de la commission paritaire chargée du traitement des candidatures. Il s’agit de Didi Manara, Agée Matembo et Jean Ilongo Tokole.
Destitué de son poste du président du groupe parlementaire PPRD, Didi Manara, ancien gouverneur de Maniema est choisi comme 2ème vice-président de la CENI. Agée Matembo qui est à la tête des frondeurs du FCC est désigné comme Questeur tandis que Jean Ilongo Tokole est choisi comme membre de la plénière.
Le rapport sera envoyé au Chef de l’Etat pour investiture.
Mercredi 17 décembre, la Dynamique progressiste révolutionnaire, des frondeurs du FCC, menée par Âgée Aje Matembo et Constant Mutamba, avaient déposé, à l'Assemblée nationale, le procès-verbal désignant les candidats aux trois postes encore vacants à la CENI. En parallèle, un groupe de députés conduit par Didi Manara, déchu la veille par ses pères au sein à la tête du groupe parlementaire PPRD, avait également soumis, le même jour, à la chambre basse du parlement, le PV de désignation des délégués de l’opposition à centrale électorale.
Berith Yakitenge/CC
Augustin Kabuya a, lors de la matinée politique tenue ce mercredi 22 décembre 2021 au siège de l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) dans la commune de Limete à Kinshasa, fustigé l'attitude de ceux qui parlent d'un retour de Joseph Kabila à la tête de la République démocratique du Congo.
Pour le secrétaire général de l'UDPS, la place de Joseph Kabila n'est plus à la tête du pays. Augustin Kabuya ajoute que ceux qui ont des telles pensées n'aiment pas Joseph Kabila dont, a-t-il dit, la place est à la Cour Pénale Internationale (CPI) ou à la prison de Makala.
« Ceux qui pensent au retour de Joseph Kabila au pouvoir ne l'aiment pas. Il lui cherche des problèmes inutilement. Qu'ils sachent que la place de Joseph Kabila n'est plus à la tête du pays. Si ce n'est pas à la CPI c'est à Makala qu'il [Kabila ndlr] doit partir. Comme ils disent que les prix des denrées alimentaires ont connu une montée vertigineuse sous Tshisekedi, peuvent-ils comparer aussi la situation des droits de l'homme sous Fatshi-béton et celle de Joseph Kabila caractérisée par des crimes d'État et des fosses communes? », a déclaré Augustin Kabuya.
Parlant des élections de 2023, Augustin Kabuya a affirmé qu'elles seront remportées par le président de la République Félix Tshisekedi et l'UDPS. Il a, dans le même registre, rassuré que le parti présidentiel a un discours à tenir devant la population en 2023.
Jephté Kitsita
Le Conseil de sécurité a adopte à l'unanimité ce lundi 20 décembre 2021, la résolution renouvelant le mandat de la MONUSCO pour un an.
Cette résolution portée par la France, soutient la paix et la stabilité en République démocratique du Congo.
Autrefois la plus grande mission de l’ONU dans le monde avec environ 20.000 hommes, la MONUSCO, présente en RDC depuis 20 ans, est passée à la troisième position.
Confrontée à des coupes budgétaires et au retrait de ses hommes, elle est dépassée par les missions déployées au Mali (MINUSMA) et au Soudan du Sud. Son budget annuel est d'environ un milliard de dollars.
Jephté Kitsita
Le Président de la République Félix Tshisekedi a signé l'ordonnance portant convocation de la 8e session de la conférence des gouverneurs de province en date du 22 et 23 décembre 2021 à Kinshasa. L'ordonnance convoquant ces assises a été lue ce dimanche 19 décembre 2021 sur la chaîne nationale.
"Cette session a pour ordre du jour les matières fixées par les dispositions de l'article 200 alinéa 2 de la constitution de la République ainsi que les articles 2, 6 et 13 de la loi organique n° 08/015 du 07 octobre 2008 portant modalités d'organisation et de fonctionnement de la Conférence des Gouverneurs de Province" dit l'article 2 de l'ordonnance présidentielle.
La loi organique n° 08/015 du 07 octobre 2008 portant modalités d’organisation et de fonctionnement de la Conférence des gouverneurs de provinces reconnait la conférence comme étant une instance de concertation et d'harmonisation entre le pouvoir exécutif national et les gouverneurs de province.
Elle a pour mission d'émettre des avis et de formuler des suggestions sur la politique à mener et sur la législation à édicter par la République.
Ces assises qui seront présidés par le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi, interviennent dans un contexte caractérisé par un cycle des conflits de gouvernance, la cohabitation difficile, les rapports de force, les déchéances de certains exécutifs provinciaux, ainsi que des quelques membres des bureaux des organes délibérants.
La septième session de la conférence des gouverneurs de province s'était déroulée du 28 au 29 décembre 2020 sous le thème :" la gouvernance des provinces dans l'environnement démocratique actuel : défis et opportunités"
Clément Muamba
Le président du Conseil européen, le Belge Charles Michel, a reçu dimanche à Bruxelles plusieurs dirigeants africains pour préparer le sommet UE-Union africaine (UA) prévu les 17 et 18 février 2022, a annoncé la cheffe de la diplomatie belge Sophie Wilmes.
Mme Wilmes a indiqué s'être entretenue avec le président de la République démocratique du Congo (RDC), Felix Tshisekedi, président en exercice de l'Union Africaine, et avec Moussa Faki Mahamat, président de la Commission de l'Union africaine.
Le président du Sénégal, Macky Sall, qui prendra la présidence de l'UA pour la période 2022-2023 et le président du Rwanda Paul Kagame ont également participé à cette réunion de travail, a-t-on appris de source européenne.
Le secrétaire d'Etat aux Affaires Européennes Clément Beaune représentait la France.
"La relation UE/Afrique est une priorité clé. La Belgique et l’UE sont déterminées à porter notre partenariat au niveau supérieur", a-t-elle précisé dans un message sur son compte twitter.
Les discussions ont porté sur les préparatifs du sommet, les résultats attendus et les principaux thèmes et idées qui seront abordés par les dirigeants lors du sommet UA-UE, a indiqué un responsable européen.
Le sommet organisé à Bruxelles par Charles Michel réunira les dirigeants des 27 et ceux des 55 membres de l'Union Africains en présentiel, si les conditions sanitaires le permettent.
Il devrait aider à "définir les priorités clés pour les années à venir et pourrait fournir les orientations stratégiques et politiques pour les relations entre les deux continents, a précisé le responsable européen.
Des investissements devraient être annoncés lors de ce sommet, a-t-il ajouté sans plus de précisions. L'UE et l'UA veulent renforcer leur partenariat dans la réponse à la pandémie de Covid-19 et la relance économique.
"L'UE est désireuse d'apporter son soutien aux solutions africaines aux défis africains. Cela inclut le développement social et humain, la santé, l'éducation, la transition verte et l'accès à l'énergie durable, la transformation numérique et la création d'emplois", a insisté le responsable européen.
L'aide au développement de l'UE sera utilisée comme un levier pour attirer les investissements du secteur privé "afin de générer les fonds nécessaires pour soutenir des initiatives dans les infrastructures et les technologies vertes, essentielles à la transition écologique et à la transformation des économies africaines.
AFP/CC et ACTUALITE.CD
Revue de presse du vendredi 17 décembre 2021.
Les espoirs se sont envolés après avoir tenu en haleine toute une population. Ce n’est un secret pour personne, la rigueur des forfaits essuyés sous le régime précédent a poussé la population au divorce d’avec le pouvoir insouciant de Joseph Kabila. Les discours, l’histoire ont forgé une embellie dans la conscience d’une population, prête à embrasser même le diable, quitte à déboucher sur un changement positif profitable au plus grand nombre, regrette La République.
Le journal en veut pour preuve l’implication (présumée) des collaborateurs du Chef de l’Etat relevée dans l’enquête Congo Hold-up. Et il y a pire. La fameuse taxe de tous les ennuis et dont on refuse de retirer, en dépit des recommandations de l’Assemblée nationale et du Sénat. Que l’on mette en berne les prérogatives d’une institution, cela ne traduit nullement l’existence d’un régime démocratique tant psalmodié.
Dans le même contexte s’inscrit le dépit de Modeste Bahati, président du Sénat, face au non-respect des articulations des Lois des finances. Avant de toner : « Ou alors nous élaborons le budget dans la complaisance. Comment peut-on comprendre que là où il était prévu des dépenses pour réaliser 708 projets, on n’en a réalisé que 41. Plus grave, on avait prévu pour les 708 projets 160 milliards de Francs congolais (80 millions USD), mais on est allé à 200 milliards de Francs congolais (100 millions USD) pour 41 projets », a dénoncé Bahati Lukwebo.
Dans le même ordre d’idées, Le Journal indique que la famille Tshisekedi est « embarrassée par le scandale sur la taxe RAM » qui révèle : le ministre Kibassa n’est autre que… le beau-frère du Chef de l’Etat. Sa sœur, Isabelle Kibassa Maliba, est l’épouse de Jean-Claude, le grand frère de Félix Tshisekedi. Députée PS provinciale du Brabant wallon, en Belgique – pays dont elle a la nationalité – elle a donné sa démission il y a peu et se consacre à diriger le bureau Best Consulting. Or, selon Espoir Ngalukiye, expert de La Lucha – organisation civique bien connue – qui l’a déclaré devant l’Assemblée congolaise début octobre, c’est Best Consulting qui se cache derrière la société 5C Energy, créée en novembre 2019, qui a signé un contrat avec l’ARPTC et empoche 30% des recettes de la taxe RAM comme prestataire du service.
Entre les 30% de 266 millions de dollars qui iraient à une société liée à sa belle-sœur, les 40% pour l’Etat dont on ne trouve pas trace, et les 25% pour l’ARPTC dont le ministère des Postes et Télécoms assure que le Président est le seul ordonnateur des dépenses, cela fait beaucoup d’argent, déplore le trihebdomadaire.
EcoNews se fait l’écho des dépassements budgétaires qui sont devenus la norme. Et quand on pose la question au flic financier en chef, Jules Alingete, il relativise et estime que le dépassement budgétaire ne peut nullement être assimilé à une faute de gestion !
Ce n’est pas cependant le cas au Parlement où le sujet agace. Au Sénat, son président, Modeste Bahati Lukwebo, s’est rappelé ses cours des finances publiques. Le speaker de la chambre haute du Parlement a tapé du poing sur la table. Il est temps, pense-t-il, de ramener de l’ordre dans les rangs, en freinant l’hémorragie dans les finances de l’Etat, écrit le tabloïd qui titre à ce sujet : « Bahati tire sur la Présidence de la République ».
Dans ce qui peut être considérée comme un problème de mauvaise gouvernance, Forum des As relaie l’appel de l’opposant Martin Fayulu qui demande aux Congolais de s'opposer à la venue des policiers rwandais en RDC.
« Cette présence, comme celle de l'armée ougandaise, viole la souveraineté de notre pays et tend à officialiser sa balkanisation », suppute Martin Fayulu Madidi.
Dans un autre registre, La Prospérité annonce que la ville d’Istanbul abrite du 17 au 18 décembre 2021, le 3ème Sommet de partenariat Turquie-Afrique. Il s’agit d’un évènement d’affermissement des liens politiques et commerciaux qui va se dérouler au Palais des Congrès.
Dans sa double casquette de Président de la République démocratique du Congo et Président en exercice de l’Union Africaine, Félix Antoine Tshisekedi prendra part active à ce rendez-vous qui connaitra la participation de plusieurs Chef d’Etat et de gouvernement africain et près de mille entrepreneurs turcs et africains.
La lutte contre le terrorisme en Afrique sera aussi au centre des discussions au cours de ces assises de haut niveau, ajoute Le Potentiel, qui indique que la Turquie a été déclarée « partenaire stratégique » de l’Union africaine.
En sport, initialement prévu aux Emirats Arabes Unis dans la ville d’Abu Dhabi, en Asie, le stage des Léopards aura finalement lieu en Egypte dans la ville du Caire du 26 décembre 2021 au 6 janvier 2022, informe L’Avenir.
Cuper va saisir cette opportunité pour se faire une idée claire sur les potentiels joueurs évoluant au pays pouvant rejoindre la sélection nationale afin d’affronter les rencontres des barrages prévues en mars 2022.
radiookapi.net/CC