L'artiste musicien, Héritier Wata a largué, ce vendredi 10 mars 2023, son nouveau single "Docteur des ignorants", en collaboration avec Jack'love, sur Youtube et toutes autres plateformes de téléchargement musical.
Cette œuvre, conçue avec la chanteuse de la team Wata, annonce les couleurs du prochain album de Héritier Wata intitulé "Sur le chemin de la gloire" qui sera sur le marché des disques dans les tout prochains mois.
Héritier Wata compte à son actif deux albums depuis son départ de Wenge Musica Maison Mère de Werrason, en 2015. Son tout premier longplaying, "Retirada" est sorti en novembre 2016. Dans cet opus, l'on retrouve des belles mélodies, telles que BM; D de D; Tout en noir; et Abeti faux et bien d'autres titres.
Son deuxième opus "Mi-ange mi-démon" renferme des morceaux tels que Désolé, Rachœur, Amour véritable, Gombe na Gombe, la liste n'est pas exhaustive.
Gratis Makabi
10 mars 2021 - 10 mars 2023, il y a deux ans passés le microcosme politique congolais a été émoussé par le décès de Henri-Thomas Lokondo Yoka en Afrique du Sud où il était évacué pour des soins de santé.
Henri-Thomas Lokondo a été élu en 2007 comme Sénateur, et en 2011 et 2018 comme député national à la circonscription de Mbandaka, dans la province de l'Equateur.
Élu en 2018 sur la liste PALU et Alliés, membre du FCC, il s'était fait remarquer par ses prises des positions d'indépendance d'esprit. Il faisait partie de 13 personnalités qui ont initié le plaidoyer pour un consensus sur les réformes électorales avant les élections de 2023.
Chevronné en matières parlementaires et membre influent du Front Commun pour le Congo (FCC), il n’avait pas hésité à présenté en avril 2019 sa candidature au perchoir de l’Assemblée nationale, contre l’avis de sa famille politique d’alors qui avait soutenu Jeanine Mabunda Lioko.
Il était détenteur d'un diplôme en sciences politiques avec une spécialisation en relations internationales de l'Université libre de Bruxelles.
Né le 27 juillet 1955 et mort le 10 mars 2021 en Afrique du Sud, en dehors de sa casquette parlementaire, Henri-Thomas Lokondo a aussi été vice-ministre des travaux publics en 1993 dans le gouvernement Birindwa, vice-ministre des relations extérieures dans le gouvernement Kengo, il gardera cette fonction dans le gouvernement Likulia en 1997.
Pour rendre hommage à ses contributions dans les différents travaux parlementaires, l'Assemblée nationale a baptisé la nouvelle loi électorale en son nom "Loi Lokondo".
Jordan MAYENIKINI
À Kolwezi dans la province du Lualaba, la fondation Pamo a célébré aux côtés de la première dame de la République démocratique du Congo, Denise Nyakeru, la journée dédiée aux droits de la femme, le 08 mars 2023.
L'attachée de presse de la fondation Pamo qui s'est dite honorée par la présence de Denise Nyakeru Tshisekedi au Lualaba, a profité de cette occasion pour inviter d'autres femmes de cette province à rejoindre la structure chère à Jacques Kaumba qui lutte notamment pour booster la classe moyenne.
"C'est une réussite, surtout que nous avons reçu la première dame dans notre province. Nous sommes très honorées pour ça. En tant que femme, je dis encore merci à notre gouverneure, maman Fifi Masuka. Merci de nous avoir emmené notre maman, notre première dame de la RDC. Je dis encore une fois merci au président de la fondation Jacques Kaumba. Nous invitons toutes les femmes du Lualaba à venir nous rejoindre. Les portes sont grandement ouvertes", a sensibilisé Collette Kabulo, attachée de presse de la fondation Pamo.
De son côté, Immaculée Binti, chargée de sensibilisation au sein de ladite fondation, a remercié Jacques Kaumba d'avoir permis aux femmes de leur structure de festoyer aux côtés de la première dame.
"Nous disons merci au ministre Jacques Kaumba, notre visionnaire, pour avoir organisé la journée d'aujourd'hui afin que les femmes de la fondation puissent fêter avec la distinguée première dame", s'est-elle réjouie.
Il convient de signaler que la fondation Pamo milite notamment pour rendre effective l'existence de la classe moyenne dans la province cobaltifère du Lualaba.
Marcelo Mfumu
La mascotte de la 9è édition des Jeux de la Francophonie à Kinshasa été présentée ce jeudi 09 mars 2022. C'était au cours d'une cérémonie qui s'est déroulée au Palais du peuple en présence des autorités du pays.
Elle est dénommée « Masano ». Elle a été choisie par le jury et des internautes. Son concepteur est Christ Eale Bokongo, étudiant en 1ère licence en communication visuelle à l'Académie des Beaux-Arts.
Lauréat du concours de la mascotte, il a empoché un chèque de 10.180.000 francs congolais (près de 5000 dollars américains).
À en croire le Premier ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, cet acte témoigne l'engagement du Gouvernement de réussir l'organisation de cet grand événement culturel et sportif qui réunira plus de 3000 athlètes et artistes.
« Placer sous le haut patronage du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, cette cérémonie est pleine de signification. Elle confirme la détermination du président de voir la RDC réussir les 9èmes Jeux prévus du 28 juillet au 06 août 2023, à Kinshasa, la capitale de la RDC et le plus grand pays francophone au monde », a-t-il fait savoir.
Pour sa part, le directeur du Comité National des Jeux de la Francophonie (CNJF) est mis en exergue l'importance de cette mascotte.
« La mascotte des Jeux est un personnage imaginaire et emblématique qui symbolise l’esprit des Jeux et est considéré comme un porte-bonheur. Elle apporte un élément d’humour et de gaieté à l’expérience des Jeux », a indiqué Isidor Kwandja.
Le dévoilement de cette mascotte est l'aboutissement d'un processus qui avait été lancé le samedi 14 janvier dernier par le directeur du CNJF.
Merveil Molo
Incarcéré dans les locaux de l’Agence nationale des renseignements (ANR) depuis le 9 février pour avoir incarné le personnage d’un recruteur Kasaïen qui sélectionne les candidats sur base d’une appartenance tribale, l’humoriste Junior Nkole a été relaxé dans la soirée du jeudi 09 mars.
Sa détention pour avoir dénoncé le tribalisme et d’autres antivaleurs dans l’un de ses sketchs avait suscité indignations et tollé dans l’opinion congolaise. Activistes, politiques et membres du gouvernement avaient dénoncé une arrestation et détention arbitraires qui selon eux, violaient le principe de la liberté d’expression dans un état dit droit.
Dans une correspondance adressée à la ministre de la Justice en date du 27 février , la ministre de la Culture, Arts et Patrimoines Catherine Kathungu avait soutenu que dans sa vidéo, l’artiste dénonce et non incite au tribalisme.
« Il s’est mis en scène comme un chef de la tribu Luba qui n’engage que ses frères et méprise méchamment les autres. Dans la vidéo, l’artiste dénonce et non incite à cette antivaleur », disait la ministre de la Culture.
De son côté, le député national Ados Ndombasi avait dénoncé le fait que l’arrestation de Junior Nkole accuserait un certain artifice politique de museler les artistes congolais alors que la constitution en son article 23 consacre la liberté d’expression et d’opinion.
Dans la même démarche, l’ONG internationale de défense des droits de l’Homme Human Right Watch (HRW) avait déclaré que le cas de Nkole met en lumière le climat d’intolérance croissante à l’égard des voix dissidentes au régime au pouvoir, avec des attaques visant des journalistes, activistes, critiques du gouvernement et manifestants pacifiques.
Carmel NDEO
Voici le palmarès de la 28e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), plus grand festival de cinéma africain, qui s'est achevé samedi:
FICTION LONG-METRAGE - Etalon d'or de Yennenga: "Ashkal" de Youssef Chebbi (Tunisie)
Etalon d'argent: "Sira", d'Apolline Traoré (Burkina Faso)
- Etalon de bronze: "Shimoni" d'Angela Wamai (Kenya)
- Prix d'interprétation masculine: l'ensemble des acteurs de "Sous les figues" d’Erige Sehiri (Tunisie)
- Prix d'interprétation féminine: l'ensemble des actrices de "Sous les figues" d’Erige Sehiri, (Tunisie)
- Meilleur décor: "Mami Wata" de Fiery Obasi (Nigeria)
Meilleur montage: "Abu Saddam" de Nadine Khan (Egypte)
- Meilleur scénario : "Le bleu du caftan" de Maryam Touzani (Maroc)
- Prix de l'image: "Mami Wata" de Fiery Obasi (Nigeria)
- Prix du son: "Ashkal", de Youssef Chebbi (Tunisie)
- Meilleure musique: "Our lady of the Chinese shop" d’Ery Claver (Angola)
Mention spéciale du jury: "Regarde les étoiles" de David Constantin (Ile Maurice)
FICTION COURT-METRAGE - Poulain d'or fiction court-métrage: "Will my parents come to see me", de Mo Harawe (Somalie)
- Poulain d'argent fiction court-métrage: "A doll" d'Andriaminosa Hary et Joel Rakotovelo (Madagascar)
- Poulain de bronze fiction court-métrage: "Tsutsue", d'Amartei Armar (Ghana)
DOCUMENTAIRES - Etalon d'or documentaire long-métrage: "Omi Nobu/L'Homme nouveau" de Carlos Yuri Ceuninck (Cap-Vert)
- Étalon d'argent documentaire long-métrage: "Nous, étudiants" de Rafiki Fariala (Centrafrique)
- Étalon de bronze documentaire long-métrage: "Gardien des mondes", de Leïla Chaïbi (Algérie)
- Poulain d'or documentaire court-métrage: "Angle mort" de Lofti Achour (Tunisie)
Poulain d'argent documentaire court-métrage: "Katanga nation" de Beza Hailu Lemma (Ethiopie)
- Poulain de bronze documentaire court-métrage: "Kelasi", de Fransix Tenda Lomba (RDC)
Mention spéciale du jury: "L’envoyée de Dieu" d’Amina Mamani (Niger) et "Cuba en Afrique" de Negash Abdurahman (Ethiopie)
SECTION PERSPECTIVES - Prix Paul Robeson au long-métrage documentaire "Le spectre de Boko Haram" de Cyrielle Raingou (Cameroun)
SECTION BURKINA FASO - Meilleur film burkinabè: "Laabli l'insaisissable", de Luc Youlouka Damiba.
- Meilleur espoir burkinabè: "Le botaniste", de Floriane Zoundi
- Révélation du cinéma burkinabè: "Malla, aussi loin que dure la nuit", de Dramane Ouédraogo.
AFP avec ACTUALITE.CD/CC
L’activité de “Slam micro ouvert à Kinshasa” a débuté son année artistique samedi 25 février au centre culturel Aw’art dans la commune de Bandalungwa. Elle réunit depuis plus de 6 mois, des artistes slameurs, rappeurs ou chanteurs une fois le mois pour s’exprimer dans ce qu’ils savent bien faire. La première soirée de l’année 2023 a connu un vrai succès artistique et populaire.
Le spectacle s’est tenu dans une salle fermée du centre culturel, qui n’a pas pu contenir les près de 80 personnes qui sont venues pour écouter les mots. Debout, assis, on ne s’en lassait pas d’être là. Autour de 30 artistes se sont succédé sur la scène, chacun prenant 3 minutes pour égayer l’auditoire où le ramener dans son univers. Histoire d’amour, histoire triste, conseil de la vie, réalité du pays, situation sécuritaire, souvenir du fleuve ; dans le Slam, la musique, le rap ; les mots.
« C’est ma première fois de voir des gens prester ainsi. Je suis ébloui et comblé de joie, c’est vraiment un bon pas. J’ai aimé l’ambiance et l’harmonie même de ceux n’étaient pas devant pour prester », a indiqué Yannick Noah, artiste musicien qui était dans le public.
La grande partie de prestataires était constituée des jeunes, tels que Dav Bela Majuscule, Mersein, Sylvain Nsana, Djoman, KG Mobile, Emma Star, Ben Nondo, Bobo Rachid, Carlos Mbula, Orno Esaie, Éternel Amoureux, Honey Sakina, Black-S, Luka James, Obed Bossa, Benjamain Masiya, Différence Zikuka et bien d’autres. Une variété de talents que Mulenda Wa Mulenda, libraire, souligne et recommande de nourrir leur imaginaire par la lecture.
« En tant qu’amoureux de la littérature, je peux dire que ça promet. Ça donne toujours envie de se dépasser, de trouver ce qui va captiver les gens, ça pousse à un sérieux travail. Il y a toujours de la compétitivité dans ce qu’on fait même si elle est en sourdine », a-t-il dit.
De l’ambiance mais pas que, Thera Landu, chantre et invitée à l’activité, donne un coup de chapeau à l’activité qui lui a permis de s’ouvrir à d’autres univers.
« Ça me permet d’avoir un esprit très ouvert. C’était la première fois de me mettre dans ce bain. Je sais que ça existe mais je ne m’étais pas encore rendu au lieu des slameurs, contente de les voir aujourd’hui », a-t-elle expliqué.
Entre des prestations de Slam, la soirée a connu un Moziki, Théâtre. Un travail de lecture fait par 5 femmes sur des textes poétiques de l’écrivain congolais Fiston Mwanza Mujila, et de leurs propres textes. Elles ont proposé au public des souvenirs du fleuve Congo dont une partie est tirée du livre « Le Fleuve dans le ventre ». Ces femmes portent le projet au-delà de leurs différences posées par la société. Elles prennent la parole pour se faire entendre.
Quant à Arsène Mpiana Monkwe, photographe de profession et chef de département photo de l’académie des beaux-arts, ça reste une opportunité que de photographier ces jeunes talents de qui il apprend à travers leurs mouvements et leurs communications scéniques. En tant qu’enseignant, il a été interpellé par le texte d’un rappeur qui parlait de l’enseignement en Lingala.
« Ce qui se fait ici donne l’opportunité de découvrir des gens, des talents. Il y a une promotion aussi de ces jeunes. Ces prestations, une, deux ou trois fois peuvent être incluses dans leurs portfolios. Ça fait quelque chose dans leurs backgrounds et c’est une initiative à encourager », a-t-il ajouté.
La prochaine soirée Slam Micro Ouvert à Kinshasa se tiendra au mois de mars, elle sera consacrée aux femmes. Seules les femmes auront l’honneur de présenter leurs textes au public.
Emmanuel Kuzamba
Au cours d'une exposition littéraire, doublée de la cérémonie de vernissage de plusieurs de ses livres, samedi 4 mars 2023, le docteur Kweto Ilondo Joy a formulé un certain nombre de recommandations aux autorités politiques et administratives de la RDC.
Au nombre de ses propositions, figure celle relative à la révision de l'hymne national, le "Debout congolais", qui, selon lui, comporte quelques fautes de français. Il cite notamment le non-respect du principe de la concordance de personnes cher à la conjugaison.
Dr Kweto Ilondo Joy estime par ailleurs qu'il est important de ramener au temps présent progressif certains verbes conjugués au futur, question de leur donner le caractère des actions qui s'accomplissent, plutôt qu'à accomplir. Ce médecin affecté à l'hôpital général de référence de Kintambo propose aussi que la phrase " longtemps courbés", devienne " *jadis courbés".
« L'œuvre humaine n'est jamais parfaite. Après autant d'années, nous avons estimé qu'il est temps de retoucher notre hymne national. L'hymne national reste le même. On retouche juste certains verbes. Nous avons d'abord estimé que longtemps courbés qui est un adverbe qui donne une action du passé qui continue au présent, change en jadis courbés. Nous avons proposé que saluez l'emblème d'or de notre, devienne saluons l'emblème d'or de notre. Cela va respecter la concordance de temps en français et l'idée de la collectivité », a-t-il déclaré
Il ajoute : « Il faut aussi que les trois verbes qui ont été conjugués au futur reviennent au présent progressif. Il s'agit de nous bâtirons, Nous peupleurons et nous assurerons. Nous batirons doit devenir nous bâtissons. Comme le peuplement est un processus actif, qui concerne non seulement les humains, mais aussi les animaux et la flore, nous proposons que cela devienne nous peuplons. Nous avons proposé que nous assurerons devienne nous assurons. Entonnez l'hymne sacré, doit devenir entonnons notre hymne. Voilà les propositions que nous soumettons au gouvernement et au Parlement ».
Pour l'auteur de ces propositions, ENTONNEZ NOTRE et SALUEZ NOTRE constituent des erreurs de non concordance de personnes (2eme personne du pluriel et 1ere personne du pluriel).
Sur le registre de la promotion de la culture congolaise, il plaide pour la création d'une chaîne de télévision publique à installer au musée et qui va exclusivement diffuser l'histoire des cultures et des traditions congolaises.
Avec l'admission de la Rumba congolaise comme patrimoine immatériel de l'UNESCO, il pense qu'il est indiqué pour la RDC de créer une autre chaîne publique dédiée à la promotion de ce genre musical congolais.
Dans le volet social, Dr Kweto Ilondo Joy a proposé la construction d'un hôpital général de référence dans la commune de Kasavubu, qui portera le nom du premier président de la République. A l'en croire, il n'est pas normal que la municipalité où habitait le premier chef d'État du Congo post Indépendance ne puisse pas disposer d'un hôpital public.
Dr Kweto a, en outre, présenté au public 7 ouvrages. Il s'agit des titres : Le gouvernement anatomique ; L'appendicectomie simplifiée ; la revue mon Église ; la prière à genoux ; les malédictions ; le doigt de Dieu et les œuvres du président FATSHI.
Cette exposition littéraire était aussi l'occasion de présenter plusieurs affiches réalisés par le docteur Kweto Ilondo Joy qui présente les dirigeants congolais de 1960 à ce jour, tous les premiers ministres de l'histoire de la RDC, les premières dames de la RDC de 1960 à ce jour, les savants congolais et la carte d'intégration économique africaine prônée par le président Félix Tshisekedi et la carte sur l'amour tridimensionnel.
Avant de clore son propos, Dr Kweto Ilondo Joy a lancé un appel aux bienfaiteurs pour la tenue de sa prochaine exposition littéraire qui aura lieu le 4 mars 2024 au musée national à Kinshasa. Elle portera sur les recettes traditionnelles congolaises et leurs valeurs nutritives.
Rappelons par ailleurs que l’Hymne national de la République démocratique du Congo, le « Debout Congolais » a été écrit par le Révérend Père Simon-Pierre Boka et composé en musique par Joseph Lutumba. Il a été adopté l'année de l'indépendance du pays en 1960. En 1971, le président Mobutu l'a remplacé par "La Zaïroise". Il va redevenir d'application, en 1997, après la prise du pouvoir par le président Laurent Désiré Kabila.
ODN