La banque « Trust Merchant Bank » (TMB) en collaboration avec Wanjbrosse Productions, ont lancé depuis le 21 mars 2023, une série de projections sur écran géant à Kinshasa, d'un film réalisé dans la capitale congolaise, intitulé « I am Chance », (traduit en français : "Je suis Chance").
Ce film raconte la vie d'un groupe de jeunes filles vivant dans les rues de Kinshasa, avec pour objectif d'interpréter, sensibiliser, éduquer et éradiquer ce fléau qui touche des millions d'enfants des différentes familles d'Afrique en général et de la RDC en particulier.
Mercredi 22 mars dernier dans les locaux de la TMB à Kinshasa, une projection de ce film a été faite, en présence de plusieurs invités, y compris la presse, conviés à l'occasion afin de présenter ce travail qui a duré plus de 6 mois de réalisation, à en croire l'équipe de Wanjbrosse Productions qui l'a réalisé.
Ce film « choquant » a laissé plusieurs personnes sans mot, qui ont découvert l'histoire d'une fillette prénommée Chancelvie ainsi que ses amies filles dont l'âge varie entre 8 et 14 ans, qui se débrouillent pour vivre, jusqu'à faire des choix parfois difficiles et des choses horribles question de trouver de quoi mettre sous la dent, chacune avec son histoire sur comment elle s'est retrouvée dans la rue.
Relatant les faits réels sans filtre, « I am chance » est un film réalisé par le Belge Marc-Henry Wajnberg, auteur de plusieurs autres films avant en République démocratique du Congo. À l'instar de « Kinshasa Kids » ou « Kinshasa Now », en partenariat avec quelques organismes, dont la TMB qui est un des partenaires financiers de ce nouveau film.
Ainsi, une série de projections sur écran géant du film dans quelques quartiers et communes de Kinshasa est donc lancée, afin de montrer notamment aux parents les risques qu'encourent leurs enfants qui deviennent « shégue ».
Ci-dessous, le résumé du contenu de ce film de 85 minutes :
Dodo, Gracia, Shekina, Chancelvie. Des jeunes filles, presque encore des gamines, déjà des femmes. Enfermées dehors, dans les rues de Kinshasa, ville immense, bouillonnante, chaotique, pleine d'énergie, de désespoir et d'espoir. Rejetées par leurs familles, elles ont fait de la rue leur refuge, apprenant les codes, ralliant un gang, se retrouvant en sœurs de galère pour survivre dans cet enfer.
Des filles toujours en mouvement, dans la peur d'être repérées, même quand on leur donne un lieu sécurisé. Des filles qui paradent, affichant leur sororité mais que la violence rattrape. Grâce à une caméra extrêmement mobile, on plonge dans cette réalité qui nous explose au visage. Pas besoin de voix off devant tant d'images fortes, de scènes brutales. Le documentaire détaille au quotidien le chaos, la pollution, la prostitution, la violence, les bagarres, les viols, mais aussi les rires, l'entraide et une parenthèse enchantée quand les filles rejoignent les musiciens, revêtent des costumes faits de déchets et dansent joyeusement comme des enfants insouciantes, pieds nus dans la poussière.
Mais quand Shekina apparaît la joue taillée en lame de rasoir, on sait que la loi de la jungle est leur réalité. C'est tout cela que le réalisateur et producteur belge Marc-Henri Wajnberg, qui connaît très bien le terrain depuis des années, rend compte, sans juger, se mettant en retrait, saisissant le quotidien à vif, sans filtre, et donnant la parole aux filles. Il s'attache à Chance, 17 ans, un sourire incroyable, une énergie de dingue, des éclats de rire étonnants, une résilience chevillée au corps et un ventre rond. Chance est enceinte mais la vie continue avec les passes, les bagarres, les coups de gueule, les coups de lame. C'est terrifiant. Mais peu à peu, c'est Shekina qui se révèle, s'affirmant de plus en plus dans cet enfer qu'elle décide de ne pas quitter. Chance donne naissance à son enfant, elle lui raconte la rue. On sort de ce film complètement chaos
Gede Luiz Kupa
Comment tirer profit de l'organisation des IXes Jeux de la Francophonie pour relancer le tourisme et faire rayonner l'image de marque de la République Démocratique du Congo ?
C'est cet objectif qui a motivé le directeur du comité national des IXes Jeux de la Francophonie (CNJF), Isidore Kwandja Ngembo, à prendre langue le mercredi 22 mars 2023, avec le ministre du Tourisme, Modero Nsimba.
C'était une occasion de réfléchir sur les stratégies à peaufiner pour booster, à l’occasion des Jeux, le secteur du tourisme.
De ce point de vue, les deux parties ont décidé de mettre en place un cadre de collaboration pour convoquer les professionnels du secteur du tourisme public et privé. Seront concernés notamment les hôteliers, les restaurateurs, les agences de voyage, les tenanciers des sites touristiques et les guides touristiques. Il sera question de les sensibiliser sur les arrivées des artistes, des athlètes et des différentes délégations officielles attendus à Kinshasa pour les IXes Jeux de la Francophonie du 28 juillet au 6 août 2023.
« Notre pays organise les IXes Jeux de la Francophonie et cela implique que nous devons loger et nourrir toutes les délégations qui viennent. Or, le secteur de la restauration et le secteur hôtelier relève du ministre de tourisme. J’étais venu le voir pour demander son implication pour que nous puissions organiser ces Jeux dans les meilleures conditions », a affirmé le directeur du CNJF au sortir de cette audience.
Il a révélé en outre que le ministère du Tourisme est en train de réhabiliter le site de la N’sele qu’il pourra mettre à la disposition du CNJF pour loger les délégations congolaises qui vont participer aux Jeux.
Il sied de noter que le secteur du tourisme en RDC est au centre du dispositif prioritaire de développement durable dans l'organisation des IXes Jeux de la Francophonie.
Merveil Molo
Il y a quelques jours, une querelle de clocher a éclaté entre Corneille Nangaa, ancien président de la Commission nationale indépendants (CENI) et l’équipe dirigeante actuelle. Ce jour-là, Corneille Nangaa tint à peu près ce langage.
L’opération d’identification et d'enrôlement des électeurs est marquée d’amateurisme. Les chiffres sur l’enrôlement des électeurs sont faux. La qualité des photos laisse à désirer sur les cartes d’électeur. Il enfonça le clou en affirmant que l’équipe actuelle de la CENI a un péché originel depuis sa mise en place.
Le comité dirigeant ne fait pas l'unanimité étant donné que plusieurs délégués n'ont pas été désignés par leurs composantes. Stupeur et tremblements !
Toute action appelle une réaction égale et opposée. C’est la troisième loi de Newton. Ceci expliquant cela, le 14 mars, Didi Manara, deuxième vice-président de la CENI monta au créneau.
Il affirma sans ambages que Corneille Nangaa ne peut pas s’ériger en donneur de leçons. Après son mandat, il a laissé des arriérés de paiement de loyers. L’immeuble abritant le siège était dans un état de délabrement très avancé avec des installations sanitaires dégradantes, tutti quanti… Diantre !
Comment pouvait-il prétendre organiser des élections dans un pays de 2,3 millions de km2 alors qu’il est incapable de gérer les odeurs des WC ? Saperlipopette !
Ainsi donc, le coq n’est pas le seul animal capable de chanter les pieds dans la merde !
Le lendemain du jour de ces déclarations croustillantes et tonitruantes, ce fut au tour du parti politique « Action pour la dignité du Congo et de son peuple (ADCP) » de monter au front pour dénoncer certains détails techniques.
Pour ceux qui ne le sauraient pas, l’ADCP est un parti politique créé par Corneille Nangaa himself. Depuis, il s’est déclaré candidat à la candidature à l’élection présidentielle malgré les sanctions américaines. Enfer et damnation !
Mais il ne pourra pas battre campagne avec des dollars yankees. C’est interdit !
Mon ami qui est devenu fou envisage aussi de créer un parti politique et de se présenter à l’élection présidentielle. Il dit avoir des grandes idées, des grands projets pour notre pays convoité par tous les pays voisins et la Chine. Bref, passons !
D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, les curés de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) et les pasteurs de l’Église du Christ au Congo (ECC) ont aussi embouché la trompette.
Ils dénoncent le fait que les matériels sensibles, destinés à l’opération d’identification et d’enrôlement des électeurs, se trouvent en circulation entre les mains d’individus n’en ayant pas qualité. Ils affirment qu’il y a des centres d’inscription qui ne se retrouvent nulle part sur le terrain sauf sur des papiers. Tout ceci risque de rendre peu crédible le processus électoral.
La semaine dernière, les curés de la CENCO ont même fait le tour de différentes instances belges et européennes pour parler de la situation sécuritaire préoccupante dans l’Est du pays et des grands défis liés aux élections de 2023.
Après la passe d’armes à fleurets non mouchetés entre la CENI et Corneille Nangaa, c’est au tour de certains partis politiques, qui étaient en embuscade, de tirer à boulets rouges sur la centrale électorale. Elle serait, selon eux, en train d’organiser la fraude électorale. Sapristi !
Des provinces favorables au pouvoir disposeraient de plus de centres d’inscription. Ceci laisse présager des joutes oratoires lors du vote au parlement de la loi sur la répartition des sièges.
Ils exigent la mise en place d’une CENI et d’une Cour constitutionnelle impartiales et consensuelles. Ils demandent dans le même temps que les élections soient impérativement organisées dans les délais constitutionnels, nonobstant le conflit avec le M23 au Nord-Kivu. Enfer et damnation !
Comme si tout cela ne suffisait pas, la CENI déclare n’avoir pas reçu dans le délai les fonds prévus pour les élections. Stupeur et tremblements !
On dit chez nous que l’argent est comme un visiteur : il arrive aujourd’hui et demain il repart.
Gaston Mutamba Lukusa
Le drapeau de la République démocratique du Congo (RDC) a flotté lors de la deuxième édition du salon du livre africain de Paris en marge de la journée mondiale du livre organisé par la mairie du sixième Arrondissement de Paris, à travers la journaliste, écrivaine et auteure Julie Melya Malundama.
S'adressant à la communauté africaine, la journaliste Julie Melya Malundama s'est appesanti sur l'éveil de conscience du continent africain qui doit réécrire son histoire par le renforcement et la promotion de la littérature africaine.
"Si la parole véhicule la culture, le livre fixe la culture nous sommes obligés de placer le livre au centre de nos préoccupations", a-t-elle souligné. Présidente du salon littéraire Ngongi, Julie Malundama a, à son actif plusieurs œuvres littéraires et autres manuels scolaires de l'enseignement maternel nommé Bouquet FATSHI.
Ces ouvrages, faudrait-il souligner, viennent pas seulement améliorer la qualité de ce degré scolaire en RDC mais en même temps l'uniformiser.
Serge Mavungu
Deux jours après l’ouverture de la session ordinaire de mars, le Président de l’Assemblée nationale, Christophe Mboso a reçu, dans son cabinet de travail, le député national Nsingi Pululu et l’ancien candidat à la présidentielle de 2018, Noël Tshiani. Ils ont déposé, ce vendredi 17 mars, pour la deuxième fois la proposition de loi sur la congolité dite «la loi Tshiani» qui a autrefois soulevé un tollé général dans le microcosme politique de la RDC.
«Je viens de recevoir pour la deuxième fois la proposition Tshiani. Je traduirais fidèlement l’expression de sa volonté aux honorables députés», a déclaré Christophe Mboso.
Ce projet de loi Tshiani veut interdire l’accession à la magistrature suprême et à d’autres fonctions régaliennes à toute personne née d’un parent non congolais.
Le député national, Nsingi Pululu porteur de cette proposition de loi, a martelé que la nationalité congolaise revête un caractère irrévocable. Donc, explique-t-il, tout congolais vivant à l’étranger ayant une autre nationalité pour des raisons sociales restera toujours congolais.
En revanche, Nsingi Pululu refuse ceux-là qui sont venus en RDC comme réfugiés et 50% congolais de devenir d’emblée candidats présidents à l’élection présidentielle.
Pour lui, en effet, cette proposition de loi sur la congolité n’est pas pour Nsingi Pululu et Noël Tshiani pour tous les congolais ayant la volonté du développement de la République Démocratique du Congo.
D’aucuns indiquent que les détracteurs de la loi Tshiani craignent que celle-ci soit utilisée pour éliminer du jeu politique certains candidats comme Moïse Katumbi et que le pays, déjà fragilisé par les conflits armés dans sa partie Est, ne bascule dans une dérive xénophobe, comme ce fut le cas en Côte d’Ivoire où le concept d’«ivoirité» avait contribué à faire basculer le pays dans une guerre civile entre 2002 et 2011.
Faut-il le rappeler, une année après son dépôt à l’Assemblée nationale et la suite négative qui lui a été réservée, son initiateur continuait à croire en la possibilité de voir cette loi être adoptée par les élus du peuple.
Cette proposition de Loi Noël Tshiani réserve les fonctions de souveraineté, y compris la Présidence, aux congolais d’origine, nés de pères et de mères congolais et mariés aux épouses congolaises d’origine. Selon Noël Tshiani, elle protègera la RDC contre les infiltrations
Okende Christian
L'artiste musicien, Ferré Gola va prester au dîner Dynastie avec les Golois, le samedi 25 mars 2023, à Bruxelles, en Belgique.
D'après l'organisateur de la soirée Yannick Kayenga, l'activité va débuter à 18h00, et la tenue blanche est exigée à tous les participants.
Il est à noter que Ferré Gola séjourne à Bruxelles, depuis le vendredi dernier. L'ancien de Wenge Musica Maison Mère et de Quartier latin international a été accueilli par une cinquantaine de Golois vivant dans la capitale belge.
Rappelons que Ferré Gola a livré son premier concert de l'année, le samedi 11 février dernier, dans la salle Elmas d'Évreux, en France. Le spectacle s'est déroulé de 19h00 à l'aube, et l'animation a été assurée par DJ Fonz.
Sorti en mars 2022, le premier volume de Dynastie contient 17 titres et un bonus track, avec des tubes tels que "Ba yuma ba vida kala" en featuring avec Innoss'B, "Bendo" en collaboration avec l'artiste franco-congolais Chily, et Toc Toc chanté avec la chanteuse ivoirienne Josey.
Le chanteur congolais Sinuku Tshekabu très connu sous le sobriquet de Sak Sakul est décédé ce dimanche 19 Mars 2023, à Montreuil en France, suite à une maladie, à l'âge de 80 ans.
La mauvaise nouvelle est tombée au bureau de l'ASBL Artiste en danger de Langu Masimu Tshaka Kongo.
Sinuku Tshekabu Sinatra Sak Sakul est parmi les Leaders de l'orchestre Sosoliso avec le trio MAJESI où on retrouvait Matadidi, Jeskin et Sinuku en 1972, à la création.
Fils de Sinuku Jean Baptiste, un guitariste de 1945 en 1952, Sinuku Tshekabu Sinatra Sak Sakul avait adopté le nom de son père après le recours à l'authenticité instauré au Zaïre à l'époque par le Président Mobutu.
Dans l'orchestre Sosoliso, le trio MAJESI, chaque leader avait une responsabilité précise. Mario était chef d'orchestre, comme il avait déjà dirigé un groupe à Lubumbashi, Jeskin qui était le cadet, s'occupait des finances de l'orchestre et Sinuku Sinatra Sak Sakul avait la charge des relations publiques.
Il faut retenir que le trio MAJESI a été suspendu par l'Union des Musiciens Zaïrois UMUZA et c'est Luambo Makiadi Franco qui avait apposé sa signature comme président de cette structure. Ils avaient été reprochés de brader la monnaie zaïroise au détriment de la monnaie étrangère. L'orchestre Sosoliso qui devait purgé une année de suspension a tenu 9 mois, avant que tous les musiciens quittent définitivement le groupe. C'est en 1978 que Sak Sakul a monté son propre orchestre qu'il a baptisé Show Machine.
Rappelons que le trio MAJESI avait des stratégies. Ils se pointaient sur scène avec des ballons de football, des gants de boxe et ils organisaient de rencontres de football, des combats de boxe et autres. On les appelaient d'ailleurs les sportifs trio MAJESI.
En ce qui concerne les œuvres, la chanson telle que ''photo ya MAJESI''de Matadidi bwana kitoko avait propulsé le trio MAJESI à l'international.
''Cheri Luta'' est une autre chanson de Sosoliso adulé par les mélomanes de l'époque et d'aujourd'hui.
Rappelons qu'en 2008, Sak Sakul s'était lancé à l'agriculture car la déception était totale à la dislocation du trio MAJESI, disait-il Sak Sakul avait aussi mis sur pied son association Congo Mania en 2008 toujours, pour s'occuper des enfants défavorisés et des artistes.
Il faut souligner qu'en 2021, précisément le 12 septembre, l'épouse de Sak Sakul qui s'appelait Françoise Nsenga était décédée en France et cela avait porté confusion à l'opinion disant que c'est Sak Sakul qui était décédé.
L'artiste ne meurt pas dit-on, Sinuku Tshekabu Sinatra Sak Sakul restera à jamais dans le cœur des mélomanes avec ses œuvres.
Djo Akeks
Le Président de la République, Chef de l’Etat, FélixAntoine TSHISEKEDI TSHILOMBO, a présidé en visioconférence, la quatre-vingt-onzième réunion du Conseil des Ministres du Gouvernement de la République, ce vendredi 17 mars 2023.
Cinq (05) points étaient inscrits à l’ordre du jour dont les Points d’information en son paragraphe II, alinéa 9 qui stipulait :
Organisation de la première édition du Dialogue National sur la Protection Sociale en République Démocratique du Congo
Le Ministre des Affaires Sociales, Actions Humanitaires et Solidarité Nationale a informé le Conseil de l’organisation de la première édition du Dialogue National sur la Protection Sociale en République Démocratique du Congo prévue du 17 au 19 avril 2023.
Cette activité s’inscrit dans le cadre de l’évaluation à mi-parcours du Programme d’Actions Prioritaires 2019-2023 particulièrement dans le secteur social. Elle aura pour thème central : « la protection sociale, un droit pour tous ».
Il a précisé que ces assises auront pour objectif de permettre aux parties prenantes de :
Partager leurs expériences et les résultats clés des programmes et projets de protection sociale mis en œuvre ;
Partager les expériences d’autres pays en matière de protection sociale ; discuter le cadre juridique et formuler les grandes orientations du Projet de Loi-Cadre sur la protection sociale ;
Revisiter les grands axes de la politique et la stratégie nationales de protection sociale partant de la revue des documents stratégiques existants ;
Adopter une feuille de route fixant les actions prioritaires en vue d’accélérer l’extension de la couverture de la population en protection sociale et améliorer les prestations sociales ;
Produire un avant-projet de Loi-Cadre portant protection sociale en République Démocratique du Congo.
Abondant dans le même sens, la Ministre de l’Emploi, Travail et Prévoyance Sociale a évoqué les avantages de cette démarche multisectorielle en matière de protection sociale dont la mise en œuvre permettra à notre pays de mieux atteindre les Objectifs de Développement Durable.
Elle a préconisé la redynamisation de la Task Force Protection Sociale qui doit demeurer le cadre permettant de réduire la fragmentation et de favoriser une grande efficacité administrative.
Le Conseil a pris acte de cette Note d’information.
CC