Le ministre de la Santé, Samuel Roger Kamba, a présenté la situation épidémiologique de la RDC -République démocratique du Congo-, à la 42ème réunion du Conseil des ministres que le chef de l'État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, a présidé, ce vendredi 02 mai 2025, à la cité de l'Union africaine. Il ressort du compte rendu lu par le ministre de la Communication et Médias, Porte-parole du Gouvernement, Patrick Muyaya Katembwe, que cette situation épidémiologique est marquée par une augmentation des cas suspects dans la tendance du MPOX, comparativement à la semaine dernière.

Selon le Ministre Roger Kamba, plusieurs cas suspects ont été enregistrés, dont 9 cas confirmés dans le Nord-Kivu, contrairement au Sud-Kivu, où la semaine s'est clôturée avec 365 cas suspects.

Concernant l'épidémie du virus Ebola, le ministre de la Santé rapporte qu'une baisse de nouveaux suspects, passant de 1900 à 1189, dont 9 décès et une natalité de 1 % dans la partie Est de la République démocratique du Congo. Et pour les cas de rougeole, des nouveaux cas ont été signalés dans les deux provinces du Nord et du Sud-Kivu. «Les cas de rougeole ont été signalés respectivement au Nord-Kivu avec 270 cas, 169 cas au Sud-Kivu et 11 décès au cours de cette semaine», a-t-il ajouté.

Il sied de noter que le ministre de la Santé, Roger Kamba, a, avant de clôturer son intervention, assuré que des dispositions ont été prises, pour riposter et que des actions sont en cours pour venir à bout de ces épidémies. Il a également examiné la situation spécifique dans les provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu, en particulier dans les villes de Goma et de Bukavu. Il a présenté au Conseil, les mesures adoptées à la 37e session du CNT -Conseil National du Travail-, pour l'opérationnalisation de l'assurance maladie obligatoire en RDC. Il a examiné le contexte d'élaboration de ces mesures, l'économie des textes réglementaires ainsi que les opportunités du démarrage effectif du régime d'assurance maladie obligatoire et d'assistance médicale de l'État.

Don Benjamin Makolo



En ce 3 mai, Journée mondiale de la liberté de la presse, les journalistes congolais, particulièrement ceux de l’est de la RDC -République démocratique du Congo-, n’ont guère le cœur à la fête. Entre l’enclume de la guerre d’agression rwandaise et le marteau d’une censure imposée par le CSAC -Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication-, l’exercice du métier devient un acte de résistance.

À Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero, Goma ou encore Bukavu, les rédactions sont souvent improvisées dans des maisons déplacées ou réduites à peau de chagrin. La menace plane autant dans les airs que dans les mots : drones armés, frappes, occupation de territoires, mais aussi injonctions administratives, suspensions de médias, interdiction de sujets dits "sensibles". Dans un contexte où les populations attendent des repères fiables, les journalistes se retrouvent muselés, surveillés, parfois traqués.

Le 22 avril 2024, le CSAC a ordonné la suspension de plusieurs médias pour leur couverture de la crise sécuritaire, accusés de "porter atteinte à la cohésion nationale". Une formulation vague, qui ouvre la voie à une censure sans garde-fous. Ce climat d’hostilité étatique envers les voix critiques met à mal le rôle fondamental de la presse comme chien de garde de la démocratie.

Pourtant, ils tiennent. Malgré les intimidations, malgré les enlèvements, malgré l’autocensure parfois forcée, les journalistes de l’est du Congo-Kinshasa continuent d’informer, d’interroger, de dénoncer. Ils s’inventent des chemins dans le silence imposé. Ils donnent la parole aux sans-voix, documentent les souffrances, et rappellent que la vérité est souvent le premier pas vers la justice.

La RDC peut-elle encore parler de liberté de la presse ? Sur le papier, oui. La Constitution le garantit. Mais dans les faits, cette liberté est aujourd’hui relative, conditionnelle, menacée. Tant que la guerre se poursuivra et que les autorités confondront régulation et répression, cette liberté ne sera qu’un mirage.

En ce 3 mai, il ne s’agit pas seulement de célébrer les médias. Il s’agit de rappeler que sans presse libre, il n’y a ni démocratie véritable, ni paix durable. Le combat pour l’information juste et indépendante est aujourd’hui un combat pour la survie même de la République.

 Prehoub Urprus



Les Léopards football de la République démocratique du Congo seront en amical en juin prochain contre le Mali et Madagascar, en prévision de la Coupe d’Afrique (CAN) de football 2025, a-t-on appris vendredi du site de la Fédération africaine de football association (FECOFA).

«Dans le cadre de la trêve internationale du mois de juin, l’équipe nationale de la RDC jouera deux matches amicaux en France. Les Léopards de la RDC affronteront les Aigles du Mali, le jeudi 5, à 20h00 et les Baréas de Madagascar, le dimanche 08 juin, à 16h00 au stade de Source à Orléans», a-t-on lu.

Selon la source, ces deux rencontres programmées avant les matches des éliminatoires de la Coupe du Monde du mois septembre tombent à point nommé et  permettront au sélectionneur national des Léopards, Sébastien Desabre, de jauger le niveau des certains joueurs, non utilisés pendant les éliminatoires, de prouver de quoi ils sont capables. 

Au regard du calendrier, le onze national de la RDC rencontrera tour à tour le Soudan du Sud et le Sénégal en septembre prochain pour le compte des 7ème et 8ème journées des éliminatoires zone Afrique de la Coupe du Monde 2026. 

A propos de ces deux matches amicaux de préparation, a-t-on indiqué, la liste des joueurs retenus sera publiée, le 15 mai prochain et leur regroupement  a été  fixé pour le 1er juin en France. 

ACP/ODM/CC



Les États-Unis ont salué une avancée majeure dans la stabilisation de la région des Grands Lacs, annonçant une Déclaration de principes historique signée entre la RDC et le Rwanda, dans le cadre des efforts diplomatiques menés par le secrétaire d’État Marco Rubio.

Ce texte, selon une fiche d’information publiée mardi par le Département d’État américain, est présenté comme un jalon diplomatique visant à favoriser la paix, la stabilité et la prospérité dans une région secouée depuis des décennies par des conflits armés récurrents et des tensions transfrontalières.

Sans entrer dans les détails du contenu de cette déclaration, Washington souligne qu’elle contribuera à protéger les intérêts stratégiques américains en matière de minerais critiques – un secteur clé pour les chaînes d’approvisionnement mondiales – tout en répondant aux besoins de sécurité régionale.

« Cette déclaration contribuera à protéger nos intérêts stratégiques en minerais critiques et à apporter la paix et la stabilité tant attendues dans la région », dit le document.

La déclaration s’inscrit dans les cent premiers jours d’une politique étrangère placée sous le signe de l’« America First » mise en œuvre par le secrétaire d’État Marco Rubio sous l’administration Trump. Ce dernier affirme que chaque action diplomatique doit répondre à l’exigence de renforcer la sécurité, la puissance ou la prospérité des États-Unis. Ce vendredi est attendue la présentation de l’avant-projet d’un accord de paix .

actualite.cd/CC



La République démocratique du Congo  et le Rwanda se sont engagés vendredi à Washington à présenter un avant-projet d’accord de paix commun d’ici le 2 mai, selon le document officiel signé entre les deux pays sous l’égide des États-Unis.

Signée par les ministres des Affaires étrangères Thérèse Kayikwamba Wagner (RDC) et Olivier Nduhungirehe (Rwanda), la déclaration de principes pose les bases d’un processus de paix structuré, incluant des engagements fermes en matière de souveraineté, sécurité, coopération économique régionale, retour des déplacés, et soutien à la MONUSCO.

Conformément au texte, les deux gouvernements s’engagent à se coordonner, par les canaux existants, pour élaborer un avant-projet d’accord de paix d’ici le 2 mai 2025, dans le cadre des processus de Nairobi et Luanda, désormais intégrés sous la houlette de la Communauté d’Afrique de l’Est (CEA) et de la SADC, avec l’aval de l’Union africaine et la facilitation du président togolais Faure Gnassingbé.

En cas de désaccord sur le contenu du projet d’accord, les parties conviennent de se rencontrer au niveau ministériel à Washington, sous l’organisation du Secrétaire d’État des États-Unis.

Le document précise que cet engagement s’inscrit dans le prolongement des discussions en cours à Doha impliquant les deux États et le M23/AFC, avec le soutien et la consultation du gouvernement américain.

Ce texte marque une nouvelle étape vers un règlement pacifique du conflit à l’Est de la RDC, avec une échéance claire et des mécanismes diplomatiques mobilisés pour assurer la continuité du dialogue.

actualite.cd/CC



Le président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, effectue un déplacement à Rome, en Italie, afin de prendre part aux funérailles du Pape François qui auront lieu ce samedi 26 avril 2025 à la Cité du Vatican.

Selon la cellule de communication de la Présidence de la République, le chef de l'État congolais va, par sa présence à ces funérailles, rendre un dernier hommage au Souverain Pontife qui n'avait cessé de manifester sa sollicitude à l'endroit du peuple congolais à travers ses intentions de prière pour la paix.

Ce même document rapporte qu’au cours de cette visite de compassion, Félix Tshisekedi va rencontrer les responsables du Vatican avec qui la République démocratique du Congo entretient d'excellentes relations séculaires.

De son vivant, le Pape François s'était montré préoccupé par la situation sécuritaire dans l'Est de la RDC. Lors de sa visite apostolique du 31 janvier au 2 février 2023 à Kinshasa, il avait insisté sur le retour de la paix sur l'ensemble du territoire congolais.

De son vivant, le Pape François s'était montré préoccupé par la situation sécuritaire dans l'Est de la RDC. Lors de sa visite apostolique du 31 janvier au 2 février 2023 à Kinshasa, il avait insisté sur le retour de la paix sur l'ensemble du territoire congolais.

Bernard Mpoyi



Le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, a salué vendredi à Washington la signature d’une déclaration de principes entre le Rwanda et la République Démocratique du Congo comme une avancée décisive vers un accord de paix global, insistant sur la nécessité de s’attaquer aux causes profondes de l’instabilité dans la région.

« Je commence par remercier le président Donald Trump pour avoir permis un véritable changement dans la manière d’aborder la résolution de la situation dans l’Est de la République Démocratique du Congo, ce qui a conduit à la signature aujourd’hui de la Déclaration de principes », a déclaré Olivier Nduhungirehe lors de la cérémonie, qui s’est tenue en présence du secrétaire d’État américain Marco Rubio.

Le chef de la diplomatie rwandaise a également exprimé sa reconnaissance envers les États-Unis :
« Je remercie le Secrétaire d’État Marco Rubio ainsi que le gouvernement des États-Unis pour nous avoir accueillis. »

Il a salué "le rôle positif joué par le Conseiller principal Massad Boulos, son équipe, ainsi que d’autres responsables, dans les progrès significatifs accomplis", soulignant l’importance du soutien américain dans ce processus.

« Aujourd’hui, nous parlons des véritables enjeux, des causes profondes qu’il faut traiter pour parvenir à une paix durable dans notre région », a poursuivi Nduhungirehe, en désignant comme priorités "la sécurité, ainsi que le retour des réfugiés".

Il a également mis l’accent sur la dimension économique du processus en cours :
« Nous discutons de la manière de construire de nouvelles chaînes de valeur économiques régionales reliant nos pays, y compris avec des investissements du secteur privé américain. »

Le ministre rwandais a rappelé que l’objectif de son pays est "une région sécurisée, libérée de l’extrémisme ethnique violent, et bien gouvernée", ajoutant que "en travaillant ensemble, notre région peut devenir un moteur de prospérité pour tous nos peuples, et pour l’ensemble de l’Afrique."

Pour lui, la déclaration signée à Washington "ouvre la voie à un accord de paix définitif", en donnant "un nouvel élan aux efforts en cours dans le cadre du processus dirigé par l’Afrique, sous l’égide de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) et de la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC), ainsi que de la voie de Doha, facilitée par l’État du Qatar."

"Nous avons vu des avancées importantes ces derniers jours", a-t-il affirmé.

Mais il a aussi mis en garde contre les illusions de facilité :
« Notre objectif commun est de conclure un accord de paix global dès que possible. Mais il n’y a ni raccourcis ni solutions rapides. Et nous devons accomplir le travail difficile pour que cela soit bien fait, une bonne fois pour toutes. »

« Le Rwanda est engagé. Et nous sommes prêts à continuer à travailler avec tous les partenaires de cette initiative. »

Il a conclu par un simple : « Je vous remercie tous. Merci. »

Contexte :
La République Démocratique du Congo et le Rwanda ont signé vendredi à Washington une déclaration de principes marquant une nouvelle étape vers la normalisation de leurs relations, sous l’égide des États-Unis. Le texte engage les deux pays à une reconnaissance mutuelle de leur souveraineté et de leur intégrité territoriale, à prendre en compte les préoccupations sécuritaires, à promouvoir l’intégration économique régionale, à faciliter le retour des personnes déplacées, à soutenir la MONUSCO, et à élaborer un accord de paix.

actualite.cd/CC



 Le Comité de gestion de la Ligue nationale de football (LINAFOOT) a infligé, jeudi, un forfait à V.Club, pour son match contre les Aigles du Congo, joué, mercredi, au stade des Martyrs de Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo (RDC), à la 1ère journée des play-offs du championnat national, a appris l’ACP, jeudi, de source administrative.

« L’équipe de V.Club perd le match par forfait, 0-3, en faveur du FC Les  Aigles du Congo », a-t-on lu. Selon cette décision du Comité de gestion (Coges) datée de jeudi 24 avril et conjointement signé par Eugène Kabongo et Antoine Luzizila, respectivement 2ème vice-président et secrétaire de la LINAFOOT, en plus du forfait, V.Club a aussi été sanctionné d’une amende financière.

« (La LINAFOOT) condamne l’équipe de V.Club au paiement de 12.000 dollars américains, à titre d’amende« , y est-il stipulé.

Ce document  a aussi ajouté d’autres sanctions à l’endroit du club vert et noir de Kinshasa.

« L’équipe (de V.Club) est suspendue jusqu’au paiement de l’amende« .

Par ailleurs, a indiqué le document, V.Club est condamné à la réparation des dommages causés après constat contradictoire avec le stade des Martyrs, l’équipe de V.Club et le commissaire au match.

Malgré cette litanie des décisions contre le club vert et noir de Kinshasa, V.Club a été condamné à jouer ses trois prochaines sorties à domicile, à huis-clos. Si on s’en tient au calendrier des play-offs, le prochain match de V.Club est attendu dimanche, au stade Tata Raphaël, dans la commune de Kalamu, dimanche, contre SM Sanga Balende. 

ACP/C.L./CC



Des voix s’élèvent pour une inhumation digne et des obsèques à la hauteur de la contribution intellectuelle de l’écrivain et philosophe Valentin Yves Mudimbe. Parmi elles, celle de Richard Ali, écrivain et vice-président de l’Union des Écrivains du Congo (UECO) qui dit trouver absurde que l’Etat congolais ne s’y mette pas alors que Mudimbe est considéré comme un patriarche même à l’étranger.

« Mudimbe est unanimement reconnu comme étant un savant, un philosophe de haut rang. Son ouvrage l’Invention de l’Afrique a été salué par les intellectuels du monde entier. Ce serait vraiment absurde que l’Etat congolais ne puisse pas faire quelque chose pour honorer sa mémoire », a indiqué Richard Ali à ACTUALITE.CD 

Pour ce faire, avec d’autres écrivains, intellectuels et acteurs du monde culturel congolais, profondément attristés par la disparition de Mudimbe, Richard Ali a initié une pétition pour appeler à une prise en charge nationale, que le gouvernement s’y mette.

« Il est temps de faire quelque chose pour ce géant de notre littérature, il est temps de s’approprier son œuvre. On ne doit pas faire comme on a toujours fait par le passé pour les auteurs qui nous quittent, il faut qu’on fasse comme on le fait dans d'autres secteurs surtout, la musique », soutient l’écrivain Richard Ali.

Et d’ajouter : 

« Mudimbe est parti, c'est un choc universel. Si on ne prend pas position, si on ne fait pas quelque chose, les choses passeront comme ça. Voilà pourquoi j’ai initié cette pétition pour que l’Etat puisse s’engager à prendre des dispositions des obsèques nationales dignes ».

Pour ces culturels congolais initiateurs de la pétition, des obsèques nationales dignes du statut de Mudimbe permettraient non seulement d'honorer sa mémoire et son héritage, mais aussi de réaffirmer l'importance de la culture et des intellectuels dans la construction de l’identité et la promotion de la cohésion nationale.

« De la même manière que le gouvernement n’hésite pas d’honorer les géants d’autres secteurs, nous lui prions de faire autant pour le nôtre : prendre des dispositions nécessaires pour organiser ces obsèques afin que la nation entière puisse se recueillir et célébrer la vie et l'œuvre de ce géant de nos lettres qui mérite une décoration à titre posthume », indique la note accompagnatrice de la pétition.

Cette pétition a récolté près de 450 signatures en moins de 5 jours de par le monde. Elle sera déposée lundi 28 avril au ministère de la culture, des arts et du patrimoine à Kinshasa. Pour signer la pétition, cliquez ici.

C’est aux premières heures de la matinée de ce mardi 22 avril que l’annonce de la mort de l’écrivain congolais Valentin-Yves Mudimbe est tombée. Du haut de ses 83 ans, le philosophe a été prolifique dans sa carrière d’homme des Lettres au point de toucher différentes générations dont il a été la mémoire vivante, une bibliothèque en mouvement, un baobab géant qui porte si bien ce nom, à en croire les nombreuses réactions qui ont émaillé les réseaux sociaux. Le décès est survenu dans la nuit de ce lundi 21 au mardi 22 avril, en Caroline du Nord, aux États-Unis.

 

Kuzamba Mbuangu 



La ville de Lubumbashi s’apprête à vivre un événement inédit dans son paysage culturel. Du 6 au 10 mai prochain, la capitale cuprifère accueille la première édition du “Paradox Film Festival”, le tout premier festival entièrement dédié aux films de genre et expérimentaux en République Démocratique du Congo.

Science-fiction, horreur, fantastique, paranormal ; le festival ouvre un espace d’expression unique pour les cinéastes et artistes qui explorent l’imaginaire. Ces assises se tiendront dans des lieux emblématiques de la ville : Biasasa Centre d’Art, Khub Création et l’Institut Français de Lubumbashi. L’événement promet une semaine riche en découvertes et en émotions fortes avec des programmes diversifiés.

Au programme, ateliers interactifs pour les passionnés et les professionnels du cinéma, rencontres professionnelles et réseautage, master classes animées par des invités de renom, expositions artistiques, projections de films en compétition, concours de cosplay, animations culturelles, performances et soirées festives, remise des prix.

Le Paradox Film Festival s’annonce déjà comme un rendez-vous incontournable pour les amoureux de cinéma. Les intervenants et les films à projeter seront annoncés dans les prochains jours.

actualite.cd/CC

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Ali Kalonga

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