Cette fois, c’est bel et bien la crise au TP Mazembe. Ce samedi, les Corbeaux de Lubumbashi ont été éliminés par le FC Vipers (0-0, 0-0 2-4 tab) avant même la phase de groupes de la Ligue des champions africaine, qu’ils vont manquer pour la deuxième fois consécutive. S’il avait bénéficié de l’immunité l’an passé car il était récemment arrivé, cette fois l’entraîneur français du TPM, Franck Dumas, ne résistera pas à cet échec, et ce ne sera pas la seule tête à tomber !

«Le président Moïse Katumbi et l’entraîneur, monsieur Franck Dumas, se sont séparés à l’amiable», indique un communiqué du club congolais. «Le président a remercié l’entraîneur pour le travail accompli et lui a souhaité un bon parcours. Monsieur Franck Dumas a, quant à lui, exprimé ses souhaits de plein succès au TP Mazembe et à ses supporters. Le Président Moïse Katumbi a pris la décision de suspendre avec effet immédiat le Comité à l’exception du secrétaire de l’équipe, Monsieur Hilaire Kabila, qui reste en fonction.»

C’est donc avec un nouveau coach que le TPM abordera les barrages de la Coupe de la Confédération, compétition dans laquelle il est reversé.

afrik foot/CC



Et une déception de plus pour le TP Mazembe… Comme la saison passée, les Corbeaux de Lubumbashi ont été éliminés avant même la phase de groupes de la Ligue des champions africaine ce samedi. Après leur 0-0 en Ouganda à l’aller, les hommes de Franck Dumas ne sont pas parvenus à trouver la faille à domicile face au modeste FC Vipers (0-0) à l’occasion du 2e tour préliminaire retour.

Tout s’est donc joué aux tirs au but et Mwape et Likonza ont manqué leur tentative et contribué à la douche froide reçue par le TPM dans son antre du Kamalondo.

Les Congolais sont donc reversés en barrages de la Coupe de la Confédération et ils devront franchir ce tour pour espérés être reversés en phases de groupes, comme la saison passée (ils avaient atteint ensuite les demi-finales). Vipers, lui, accède, aux groupes.

afrik foot/CC



Arrivée cette saison avec une lourde tâche d’amener SK Beveren au sommet, l’international congolais Dieumerci Mbokani a marqué son premier but et a porté son équipe (2-1) contre Deinze vendredi 14 octobre 2022 pour le compte de la 9e journée de la division 2 belge.

Remplaçant, l’ancien avant-centre d’Anderlecht a effectué son entrée à la 54e minute dans une composition de (5-3-2) employée par son entraîneur titulaire De Decker.

Ce dispositif a mis dans le meilleures conditions l’attaquant de 37 ans et l’a permis à se mettre en évidence à la 85e minute en inscrivant un but salvateur permettant les jaune et bleu de s’imposer (2-1) alors qu’ils menaient au score (1-0) à la 9e minute. Ces derniers ont été rejoints dès l’entame du dernier quart d’heure, soit à la 75e minute.

Ce but de D. Mbokani Bezua a permis à SK Beveren d’aligner sa troisième victoire d’affilée et de garder le fauteuil du leader au classement avec 18 points en 9 sorties.

actuRDC/CC

 


Les élections législatives et présidentielle de 2023 arrivent au galop. Ceci expliquant cela,  l’opposition politique réclame  à tue-tête le bilan du mandat du Chef de l’Etat.

On en parle à un point tel qu’une commère habitant le même quartier que mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, cherche à rencontrer ce Bilan dont tout le monde parle. Elle veut quémander quelques sous. Saperlipopette !

Il y a ceux qui soutiennent que Fatshi n’a rien fait durant son mandat.  Ils affirment avec des trémolos dans la voix qu’il ne mérite pas un second mandat, tutti quanti !

D’autres en revanche, égrènent plusieurs réalisations. Pour ceux qui lisent la bible, c’est comme lors du Jugement dernier, le jour où Dieu jugera les hommes suivant leurs intentions, leurs paroles et leurs actes.

Ceux qui ont un bilan positif vont au paradis et les malfaiteurs sont condamnés aux géhennes. Stupeur et tremblements !

Dans l’Egypte des Pharaons, Anubis était le dieu de la mort. Il introduisait les morts auprès du tribunal présidé par Osiris. Le cœur des défunts était alors pesé et leur destin décidé. Les bonnes et les mauvaises actions terrestres étaient pesées à l'aide d'une balance. Le cœur du mort était placé sur l'un des plateaux de la balance. Sur l’autre était mise une plume qui représentait Maât, la justice. 

Le plateau avec l'âme devait être en équilibre avec celui avec la plume. Dans ce cas, on méritait  la vie éternelle. Le mort était présenté à Osiris qui l'acceptait dans le paradis.

Un monstre dévorait le défunt si le résultat lui était défavorable.  Bref, passons !

Nous n’en sommes pas encore là. Les militants de certains partis qui siègent au gouvernement ne veulent pas partager le bilan de Fatshi qu’ils considèrent négatif. Ainsi, ils veulent le beurre, l’argent du beurre et le sourire (ou autre chose) de la fermière. Enfer et damnation !

Ceci expliquant cela, même Joseph Kabila voudrait faire un retour à la Zorro. Son heure aurait sonné. Le chant du cygne ?

En fait quel est le bilan du Programme des Cinq Chantiers et de la Révolution de la modernité ?

D’après mon ami qui sait tout, la population vote majoritairement selon des affinités tribales. C’est d’ailleurs pour cela que Joseph Kabila a eu beaucoup de difficultés pour se faire élire en 2006 et 2011. La population le considère comme un sujet étranger, un Rwandais !

Ceci expliquant cela, Fatshi a toutes les chances de rempiler pour un second mandat, d’autant qu’il n’y a qu’un seul tour à l’élection présidentielle. Ce mode de scrutin privilégie celui qui est en fonction quand il y a plusieurs candidatures à l’élection présidentielle comme cela laisse présager.

Un président de la République peut donc être élu avec 20% des suffrages et même moins du moment qu’il est classé en tête. Stupeur et tremblements !

Quant aux parlementaires, généralement 10% environ reviennent au Palais du peuple. La bérézina ! On n’y peut rien.

C’est ainsi depuis 2006, sans autre explication.

D’après mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, Fatshi a des réalisations à son actif. Le problème est que le pays était tellement en déliquescence que les quelques réalisations sont noyées dans des eaux boueuses. Sapristi !

Tiens, le 14 octobre c’est le jour anniversaire de naissance du Maréchal Mobutu. Il aurait eu 92 ans. On n’en parle même pas. Il est tombé dans l’oubli !

Et pourtant à l’époque du mobutisme triomphant, c’était jour férié, chômé et payé on ne sait par qui !  Sic transit gloria mundi !

Pour ceux qui ne causent pas le latin comme le cardinal Ambongo, cela veut dire « Ainsi passe la gloire du monde » ! 

En langage biblique et facile cela signifie « vanité des vanités, tout est vanité ». Mobutu avait dans un premier temps fait beaucoup pour le pays. Mais plus tard, gangréné par la corruption et la maladie, il détruisit ce qu’il avait bâti. N’est-ce pas de la sorcellerie ?

On dit chez nous qu’il n’y a pas de mauvais roi mais de mauvais courtisans.

Gaston Mutamba Lukusa



L'international congolais, Nathan Idumba Fasika et Cape Town City FC se sont inclinés devant Petro De Luanda (1-0), ce vendredi 14 octobre 2022, au Stade National du 11 novembre, en match comptant pour le deuxième tour retour de Ligue des Champions de la Confédération Africaine de Football (CAF).

L'unique but de la rencontre a été inscrit par Cabibi à la 87ème minute de jeu.

Battus 3-0 à l'aller à Cape Town, Nathan Idumba et ses coéquipiers quittent la compétition, et sont déversés en Coupe de la CAF. La formation angolaise par contre rejoint la phase de groupes de la C1.
 
Gratis Makabi


Six mois de prison ferme et une amende de 5000 mille USD, tel est le verdict rendu par le tribunal de Paix de Kinshasa-Matete à charge de l’épouse de Jean-Marc Kabund.

Selon des sources proches de ce tribunal, Christine Kasongo est condamnée pour « injures et imputations dommageables » contre le vice-gouverneur de Kinshasa, Gérard Mulumba dit Gecoco.

Elle rejoint ainsi son mari, l’opposant Jean-Marc Kabund, poursuivi pour avoir tenu devant la presse des propos qualifiés d’injurieux, de nature à alarmer la population et à porter atteinte à l’honneur des institutions publiques et à la dignité du Chef de l’Etat.

Alors qu’il est assigné à résidence surveillée, l’ancien président ai de l’UDPS est toujours incarcéré.

Dominique Malala



La Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC) et les télédistributeurs qui œuvrent en République démocratique du Congo, entendent signer, dans les prochains jours, un protocole d'accord pour le paiement de la redevance audiovisuelle due à cette chaîne publique. 

C'est dans ce cadre que les deux parties ont eu, ce vendredi 14 octobre 2022, à Kinshasa, sous l'égide du ministère de la Communication et médias, une réunion pour examiner le projet dudit protocole d'accord.

Selon le directeur général a.i de la RTNC, Bellidée Robert Mbunga, les deux parties ont, au cours des échanges, analysé tous les articles dudit protocole d'accord et se sont mises d'accord sur des points qui divisaient.

"(...) celle-ci (réunion, ndlr) a porté sur l'examen proprement dit du projet du protocole d'accord que nous devons signer avec les télédistributeurs. Et les travaux se sont bien déroulés, nous avons analysé de fond en comble tous les articles de ce protocole d'accord et nous nous sommes mis d'accord sur certains points qui nous divisaient ou qui posaient de petits soucis. Nous sommes très heureux de constater que nous tombons tous d'accord sur les principaux termes de ce contrat. Nous allons envisager certainement la signature de ce protocole d'accord dans les jours à venir devant le ministre de la Communication et médias", a-t-il déclaré à la presse au sortir de la réunion.

Les télédistributeurs ont, de leur côté, salué un atterrissage paisible de ce processus qui devra déboucher sur le paiement de la redevance audiovisuelle due à la RTNC.

"Je pense que la réunion d'aujourd'hui est un atterrissage finalement parce que nous avons eu plusieurs réunions autour de l'entente que nous devons avoir avec la RTNC en ce qui concerne la perception de la redevance audiovisuelle. Parce que nous, en tant que télédistributeurs, nous sommes censés aider la RTNC à percevoir ce qui lui est dû auprès des consommateurs de ce signal pour appuyer ce média public. Et grâce à l'entregent du ministre Muyaya, nous avons eu une série de réunions qui ont permis à ce qu'aujourd'hui nous puissions ressortir un texte accepté par tout le monde", a affirmé Thierry Monsenepwo, porte-parole circonstanciel des télédistributeurs.

Cependant, il a tenu à fixer l'opinion sur le fait que les télédistributeurs n'ont jamais refusé de payer cette redevance. À l'en croire, il fallait pour ce faire, signer un protocole d'accord avec la RTNC conformément à la loi.

"Ici, il est lieu de fixer l'opinion sur le fait que les télédistributeurs n'ont jamais refusé de participer à cette collecte de la redevance due à la RTNC. La loi sur la redevance ainsi que les arrêtés interministériels qui fixent les modalités d'application stipulent très bien qu'avant que nous puissions engranger cette pratique, il faille nécessairement que nous puissions nous mettre d'accord avec la RTNC. Donc, il n'était pas question de tordre la loi mais il était question à ce que nous puissions trouver un cadre de concertation pour que nous ayons ce protocole qui va nous permettre de travailler ensemble. Et je pense qu'aujourd'hui nous sommes arrivés à ce stade et très bientôt il y aura une cérémonie de signature et nous allons mettre en branle tout ce qu'il faut pour que nous puissions mettre la RTNC dans les conditions qu'il faut", a ajouté Thierry Monsenepwo.

La loi n°11/004 du 25 juin 2011 portant redevance sur les appareils récepteurs d'émissions audiovisuelles prévoit la collecte d'une redevance au profit de la RTNC pour lui permettre d'être compétitive face à la concurrence née de la libéralisation du secteur audiovisuel en RD Congo. 

Cependant, depuis sa promulgation, cette loi souffre d'application. C'est avec l'avènement de Patrick Muyaya à la tête du ministère de la Communication et médias, qu'une série de réunions a été initiée avec les télédistributeurs pour l'élaboration et la signature d'un protocole d'accord en vue de permettre à la RTNC de collecter cette redevance auprès des abonnés des télédistributeurs.

Prince Mayiro



L’auteur congolo-canadien Body Mpotitolu Ngoy a procédé à la présentation, à Kinshasa, de son ouvrage “Kassav’ : des traditions à l’universalité” devant la presse. Paru aux éditions du Net depuis quelques mois, cet essai de 150 pages est un retour aux sources d’inspiration qui a fait le succès du groupe de musique mythique Kassav’. Il a explicité le contenu et son importance pour les Congolais.

Selon l’auteur, il s’est inspiré du parcours de ce groupe guadeloupéen comme modèle de réussite à proposer pour bâtir des communautés et des sociétés respectables. Plus de 4 décennies du groupe Kassav’ cher à Jacob Desvarieux sont scrutées de manière à montrer la force des traditions d’un peuple enfouies dans l’héritage culturel et spirituel, ainsi que la connaissance de soi.

« Je vais montrer aux Congolais, aux Africains et afro-descendants que ce qu’on appelle les noirs ont un héritage extraordinaire, qui est la pierre angulaire de l’humanité. Il faut maintenant trouver un cadre, trouver des gens qui vont faire en sorte que le projet arrive à bon port. C’est reconnaître que nous sommes Africains et Congolais, possédant un patrimoine riche, vouloir le travail d’équipe pour l’intérêt commun », a dit Body Ngoy.

Aussi, veut-il que le livre vient montrer au Congolais qu’il est un grand peuple, qui devra creuser dans son héritage pour se développer, car dit-il, le groupe Kassav’ a utilisé l’héritage congolais, ce qu’a utilisé le groupe Wenge, Franco Luambo ou Zaiko. Il indique qu’il y a une certaine “congolité” dans le groupe Kassav’, et dans leur musique, partie de l’Afrique en général.

Il affirme qu’avec la publication de ce livre, c’est la préparation de l’esprit des lecteurs congolais pour d’autres livres qui creuseront encore dans la culture et le patrimoine congolais. Entre autres la musique et la spiritualité qu’il différencie de la religion.

« Nos ancêtres n’avaient pas de religion, ils avaient la spiritualité. Leur pratique a fait la force lors de leur déplacement comme esclave. La spiritualité, c’est l’équilibre, l’harmonie. Les chinois ont prouvé qu’on peut évoluer avec sa propre culture, sa propre, sa propre spiritualité. Les religions nous divisent et cela profite à nos prédateurs », estime-t-il.

Le groupe Kassav' sur lequel Body Ngoy s’est penché a été fondé en Guadeloupe en 1979. Avec le Zouk comme genre de musique principal, il fait partie des groupes français qui se sont produits le plus à l'étranger, détenant en même temps le record du nombre de passages au Zénith de Paris. Pas moins de 75 concerts ont été donnés dans différentes capitales du monde.

Body Ngoy est entrepreneur, écrivain et auteur de bandes dessinées. Il a vécu plus de 30 ans à l’extérieur de la RDC, son pays d’origine qu’il a quitté à 19 ans. Ce livre est le premier du genre essai de ses œuvres écrites. Il est une réflexion qui s’inscrit dans sa vision du monde grâce à la mise en œuvre des valeurs d’équité, de justice sociale, du vivre ensemble, du respect réciproque, du travail acharné, de collaboration, de réconciliation des peuples, etc.

Emmanuel Kuzamba



Cela fait exactement 33 ans, le 12 octobre dernier, depuis la disparition de l’artiste musicien, compositeur et chanteur François Luambo Lua Ndjo Makiadi dit Franco, décédé en 1989 en Belgique, à Mont-Godinne, à l’âge de 51 ans. En 33 ans de carrière, Franco a marqué de son empreinte la rumba congolaise dont il est devenu l’un des grands maîtres. Il est considéré comme un des fondateurs de la musique congolaise contemporaine.

Né en 1938 à Sona-Bata, le fondateur du TP OK Jazz est considéré comme initiateur d’un influent courant de la rumba congolaise, une école qui a inspiré plusieurs autres musiciens. Il n’est pas étonnant d’écouter encore, à ces jours dans les rues de Kinshasa, fredonner les chansons de cet immense artiste. 

« Je suis le seul musicien africain à avoir exercé mon métier trente ans durant sans me détacher de l’orchestre que j’ai créé, ni du style qui fait le cachet du groupe. J’en suis fier et je remercie le Bon Dieu de m’avoir donné une vie aussi remplie », disait-il à l’époque. 

Franco et son orchestre ont participé, en 1974, au festival Zaïre 74, tenu à l'occasion du mythique combat de boxe entre Mohamed Ali et George Foreman, à Kinshasa, au stade Tata Raphaël. Son plus grand succès est le titre « Mario », sorti en 1985, dans lequel il raconte l'histoire d'un gigolo qui vit chez une femme plus âgée. Ce titre a été repris par le groupe musical sénégalais Africando en 2006.

Franco est décoré, en 1976 , comme Officier de l'Ordre national du Léopard ; il fait partie en 1977, du FESTAC 77, un festival des cultures et arts noirs et africains qui se tient à Lagos, au Nigeria, et réunit près de 60 pays. À Kinshasa, l’avenue Bokassa a été rebaptisée en octobre 2019 du nom de Luambo Makiadi. Une statue a également été érigée en son honneur à la place des artistes, au rond-point Victoire.

actualite.cd/CC

 


Actuellement soigné d’un cancer des testicules, Sébastien Haller pourrait retrouver les terrains en seconde partie de saison, c’est du moins ce qu’espère son club du Borussia Dortmund. De son côté, l’attaquant préfère encore se montrer prudent.

«Je passe cinq jours d’affilée à l’hôpital, où je suis branché 24h/24 et 7j/7, je ne peux pas sortir du lit pendant que le traitement est injecté dans mon corps. Ensuite, j’ai droit à deux semaines de repos. C’est une phase, et je dois le faire quatre fois. Quatre phases de chimiothérapie d’une durée d’environ trois semaines chacune», a d’abord précisé l’international ivoirien sur le site de l’UEFA. «Après cela, selon l’évolution de mon cancer et sa propagation, je pourrais être obligé de subir une intervention chirurgicale. Beaucoup de gens me demandent quand je serai de retour, mais il y a beaucoup de choses à prendre en compte donc c’est difficile de leur donner une réponse claire.»

Prudent, l’ancien Auxerrois reste néanmoins optimiste, notamment parce qu’il parvient à effectuer un entraînement individuel pour garder la fome. «J’ai la chance de me sentir bien. Je suis physiquement capable de travailler, je me sens bien d’un point de vue mental et physique, ce qui est bien sûr utile pour lutter contre cette maladie. J’ai une échelle de temps en tête. Si j’ai la chance de ne pas avoir besoin de chirurgie, les choses peuvent aller très vite. Trois semaines après la phase finale, des contrôles sont effectuées pour voir à quel stade se trouve la métastase et si vous avez besoin d’une intervention chirurgicale ou non. Si je n’ai pas besoin d’une opération, avec la façon dont je m’entraîne, j’aime à penser que je serai en bon état à la fin de ces trois semaines», a conclu le buteur. C’est tout le mal qu’on lui souhaite.

afrik foot/CC

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