Le Tout Puissant Mazembe s'est qualifié pour les demi-finales de la Coupe de la Confédération dimanche 24 avril stade Kamalondo en battant l'équipe égyptienne Pyramids FC (2-0) à l'occasion des quarts de finale retour après le 0-0 du match aller au Caire.

Les hommes de Franck Dumas ont ouvert le score à la 33' grâce à l'Ivoirien Christian Koffi Kouame, bien servi par Kabaso Chongo. Le même Kouame a loupé un penalty à la 12' de jeu.

Avant la fin de la première période, 44', Jephté Kitambala a alourdi le score en réceptionnant le ballon en provenance de Philippe Kinzumbi.

Aucun autre but n'a été marqué à la seconde mi-temps. 

En demi-finale; le TP Mazembe rencontrera le vainqueur du match RS Berkane (Maroc)-Al Masry (Egypte).

Ali Kalonga



Le groupe parlementaire CACH et alliés a déposé vendredi 22 avril 2022, la candidature du député national André Mbata au poste de premier vice-président de l'Assemblée nationale pour remplacer Jean-Marc Kabund.

Dans une interview accordée à la presse après le dépôt de la candidature, l'élu de l'Union pour la nation congolaise (UNC), Crispin Mbindule pense qu'André Mbata a des compétences pour assumer ce poste.

« Nous avons accompagné aujourd'hui le professeur Mbata quand il venait déposer sa candidature au bureau de l'Assemblée nationale. Pourquoi nous l'avons accompagné ? vous savez que notre règlement disait que le premier vice-président de l'Assemblée nationale doit provenir du groupe CACH et au sein du groupe CACH, on a dit c'est dans le parti politique UDPS, et l'UDPS s'est concertée et il nous a présenté une candidature et cette candidature est celle du professeur Mbata que nous avons accompagné. Et nous pensons qu'il a les compétences pour assumer ce poste », a déclaré Crispin Mbindule.

Le député Mbindule appelle le remplaçant de J-M Kabund a être rassembleur dès qu'il sera au bureau de la chambre basse du parlement.

Signalons que c'est vendredi 22 avril que l'Assemblée nationale a publié le calendrier de l'élection du premier vice-président. Elle aura lieu le 27 avril prochain. 

Roberto Tshahe/CC

Et revoici le M23 !



Ce jeudi 21 avril, un sommet s’est tenu à Nairobi. Il réunissait les Chefs d’Etat et de gouvernement du Burundi, du Kenya, de l’Ouganda, de la RD Congo et du Rwanda. Por qué ?

Ce 2ème conclave de la CEA sur la sécurité en RD Congo recherche les voies et moyens de neutraliser les groupes armés qui ont mis en coupe réglée l’Est du pays. Enfer et damnation !

Ceci expliquant cela, un appel a été lancé pour que ces hordes déposent les armes et retournent sans conditions et sans atermoiements funestes dans leurs pays d’origine respectifs.

Par une sorte de mutation génétique, le M23 est classé parmi les mouvements nationaux. Saperlipopette ! Qui l’eût cru ? Qui l’eût dit ?

La nature nous réserve parfois des surprises. Les groupes armés qui ne participeraient pas au processus seront considérés comme des forces négatives et combattues par une force régionale qui sera opérationnelle incessamment. 

Suivant mon ami qui sait tout, plus ça change plus c’est la même chose. Cette énième réunion est causée par la réapparition du M23 qu’il assimile à l’Hydre, ce serpent à sept têtes qui repoussaient dès qu’on les coupait selon la mythologie grecque. Stupeur et tremblements !

Pour ceux qui l’auraient oublié, à la mi-avril 2012, une mutinerie éclata au sein des FARDC stationnées dans le Masisi. Les soldats déserteurs, principalement Tutsi rwandalo-congolais, fondent, le 6 mai 2012, le Mouvement du 23 mars (M23).

Ils sont quelques centaines. Ils déclarent vouloir dynamiser l’application de l’accord de paix du 23 mars 2009 entre le gouvernement et l’ex rébellion du CNDP (Congrès national pour la défense du peuple).

Sa branche armée, ARC (Armée révolutionnaire du Congo), enregistra plusieurs succès militaires dont le summum fut la prise, le 20 novembre 2012, de la ville de Goma. Enfer et damnation !

Ils vont alors exiger et obtenir l’ouverture des négociations avec le gouvernement à Kampala en échange de leur retrait. Le 30 octobre 2013, au cours d’une contre-offensive menée par les FARDC et la Brigade d’intervention de la MONUSCO, le M23 fut défait. Ses combattants se réfugièrent en Ouganda et au Rwanda.

Pour mettre définitivement fin au conflit, le gouvernement et la rébellion du M23 se retrouvèrent à Nairobi. Le 12 décembre 2013, deux documents qui concluent les pourparlers entamés à Kampala, y furent signés.

Dans la déclaration de Nairobi, le gouvernement s’engageait à mettre en place le programme de démobilisation, désarmement et réinsertion sociale des anciens rebelles et à présenter au Parlement un projet de loi d’amnistie.

Le M23 renonçait à son tour à la rébellion moyennant amnistie, libération des prisonniers, retour et réinstallation des réfugiés et des personnes déplacées internes, réconciliation nationale et remise des biens spoliés.

Après plusieurs tergiversations sur le rapatriement des ex combattants du M23  au Congo, un ultimatum leur fut lancé en décembre 2015. A son expiration, seuls 12 ex combattants ont regagné le Congo sur près de 1.500 recensés dont 1.039 en Ouganda et 440 au Rwanda en principe désarmés.

Depuis, le Rwanda ne disposait plus d’un cheval de Troie sérieux dans l’Est du Congo. Maintenant c’est fait. Revoici le M23 !

Selon mon ami qui sait ce qui se passe dans tous les coins et recoins de Kinshasa la déglinguée, le loup est dans le poulailler. Avec ce qu’il y a trouvé, il n’est pas prêt d’en sortir!

Le M23 accuse le gouvernement de ne pas respecter les engagements de Nairobi. Il exige l’intégration de tous ses combattants dans l’armée, l’amnistie totale et l’intégration de ses délégués dans plusieurs structures censées favoriser la paix et la réconciliation. 

Et pourtant, la loi sur l’amnistie fut promulguée en février 2014.  Elle exclut les auteurs présumés de crimes de guerre, crimes contre l'humanité et autres violations graves des droits de l'homme.

Il avait aussi été décidé que la réintégration dans l’armée passera par la voie du recrutement individuel. Si quelqu’un t’a mordu, il t’a rappelé que tu as des dents.

GML

 



En conférence de presse d'avant-match entre le Tout-puissant Mazembe et Pyramides FC d'Égypte pour le compte des quarts de finale retour de la coupe de Confédération, l'entraîneur français du club de Lubumbashi, Franck Dumas, a estimé que Trésor Mputu n'a plus de niveau pour pouvoir jouer à cette étape de la compétition.

Il l'a dit ce samedi 23 avril 2022 devant la presse locale et continentale présente à Lubumbashi. 

  1. « Trésor Mputu n’a plus le niveau pour ces genres des matchs. Il a eu un comportement inacceptable, mais ce n’est pas la fin du monde. Moi j’ai demandé à Trésor depuis quelques jours de parler à la presse, de s’exprimer, de dire des choses pour que les gens sachent réellement ce qui se passe. Ça fait quelque temps qu’il n’a plus le niveau physique pour pouvoir participer à ces genres de matchs. En coupe d’Afrique ça va vite, c’est du box to box (attaquer et défendre au même moment ndlr). Par contre, il doit continuer à travailler et apporter autrement. Mais ce comportement qu’on a pu voir, moi et les joueurs on a été tous déçus », a-t-il révélé

Cependant, plusieurs supporters de Mazembe veulent voir Trésor Mputu jouer des matchs, estimant que le jeu proposé par leur équipe manque de créativité que seul Mputu peut apporter.

Franck Dumas est au centre des critiques à Lubumbashi depuis qu'il a pris l'équipe en début de saison. Elle (équipe ndlr) a été éliminée en Ligue des Champions par Amazulu FC d'Afrique du Sud avant d'être reversée en coupe de Confédération de la CAF.

Mazembe reçoit Pyramides FC ce dimanche après le nul (0-0) lors du match aller il y a une semaine. Les corbeaux sont obligés de gagner à la maison pour se qualifier en demi-finale.

Gede Luiz Kupa



Le Tout Puissant Mazembe de Lubumbashi est obligé de remporter le duel ce dimanche 24 avril face au club egyptien de Pyramids FC, en match retour des quarts de finale de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF).

Après le nul sans but du match aller au Caire, Mazembe devrait éviter un résultat d’égalité avec des buts. Il est obligé de l’emporter pour accéder en demi-finale.

Pource faire, Mazembe compte sur son public pour le pousser à la victoire.

Le site des Corbeaux a annoncé que c'est à la billetterie du Stade située à l’angle des avenues Nguba et des Sports en face du centre médical qu'il faut se rendre pour l'achat de tous les accès. Un seul point de vente sera opérationnel pour cette rencontre dont l’accès est restreint à 50% de la capacité du stade.

Le prix de la tribune latérale est fixée à 5 000 FC (2.5 USD).

radiookapi.net/CC



Le Pape François a nommé Mgr André Giraud Pindi Mwanza, nouvel évêque du diocèse de Matadi dans la province du Kongo-Central. C’est ce qu’indique le communiqué de la CENCO, rendu public ce samedi 23 avril.

Mgr Pindi Mwanza était vicaire général du diocèse de Matadi de 2019à 2021 et à partir de 2021, administrateur apostolique du même Siège.

Il succède ainsi à Mgr Daniel Nlandu Mayi, évêque émérite du diocèse de Matadi, décédé le 12 décembre 2021 à l’âge de 68 ans.

Mgr André Giraud Pindi Mwanza est né le 24 juillet 1964 à Kindomingielo, diocèse de Matadi, est entré au Petit Séminaire de Kibula (1976-1984) et a terminé ses études de Philosophie au Grand Séminaire de Mayidi (1984-1988) et de Théologie à le Grand Séminaire Saint Jean XXIII de Kinshasa (1988-1993).

Il a été ordonné prêtre le 18 septembre 1994.

Licencié en droit canonique à l'Université catholique du Congo à Kinshasa (1994-1997), il a été vicaire de la paroisse Notre Dame de la Sagesse à Kinshasa.

Il a aussi été maître de conférences en droit au grand séminaire interdiocésain de Mayidi (1997-2002).

Il a un doctorat en Utroque Iure à l'Université Pontificale du Latran (2002-2006), mais a aussi été Fidei donum et curé in solidum dans l'unité pastorale Notre Dame de Compassion (2006-2013) et Défenseur du Lien dans le Diocèse de Lausanne, Genève et Fribourg (2006-2019), modérateur du Doyenné de l'Unité pastorale de Nyon-Terre Sainte, diocèse de Lausanne (2013-2019).

radiookapi.net/CC



Le gouvernement de la République a déclaré officiellement la résurgence de la maladie à virus Ebola dans la province de l'Equateur (Ouest du pays). Il s'agit d'un étudiant (31 ans), hospitalisé en date du 19 Avril 2022 à l'Hôpital Général de Wangata, décédé dans un tableau hémorragique le 21 Avril 2022, dit le communiqué signé par le ministre de la santé. 

"Il s'agit d'un étudiant de 31 ans, hospitalisé en date du 19 Avril 2022 à l'Hôpital Général de Wangata, décédé dans un tableau hémorragique le 21 Avril 2022 au Centre de Traitement Ebola (CTE) de l'HGR Wangata. Un prélèvement sanguin puis un Swab ont été effectués à la même date par l'équipe de l'HGR Wangata, testés à Mbandaka et au CTE Wangata. Les 2 échantillons ont été testés positifs à Mbandaka puis envoyés à l'INRB Kinshasa pour contrôle qualité et le résultat est revenu aussi positif au virus Ebola", a déclaré Dr Jean-Jacques Mbungani, ministre de la santé.

A ce stade, le gouvernement note environ 74 cas contacts du nouveau cas confirmé déjà pré listés.

"Les équipes de la Division provinciale de santé et de la zone de santé de Wangata sont déjà sur le terrain pour mener les activités de riposte, notamment le listage et le suivi d'environ 74 contacts à ce jour et la décontamination des formations sanitaires et des ménages est en cours”, a ajouté le ministre. 

Dr Mbunga qui invite la population de Mbandaka à s'impliquer à la réponse, suggère aussi de mettre en pratique “l'expérience avérée de la gestion de maladie à virus Ebola lors de récentes épidémies” connues dans la même province.

C’est la nouvelle série après les épidémies de 2018 (130 cas) et de 2020 (54 cas) à l’Equateur. Il s’agit de la 14e épidémie d’Ebola connue en République démocratique du Congo depuis 1976.

Clément MUAMBA



Le monde célèbre ce samedi 23 avril, la journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Cette question est parmi celles qui font partie des préoccupations premières du secteur culturel congolais. Cependant, certains culturels estiment que l’efficacité de la politique des droits d’auteur passe par l’assainissement du secteur culturel congolais en adoptant une politique générale de la culture.

Le responsable du département de la culture de l’UNESCO l’a relevé lors d’une rencontre de renforcement des capacités des journalistes culturels sur le développement durable. Augustin Bikale estime qu’ “on ne peut pas parler du droit d’auteur si on n’a pas une vision claire et générale du secteur de la culture ou de la promotion de la créativité”.

Et d’ajouter :

« Nous sommes dans un pays où, on veut considérer la politique des droits d’auteur déconnectée de tout le reste des contextes, c’est pourquoi il faut d’abord assainir le secteur en faisant une politique générale ».

La ministre de la culture, arts et patrimoines, Catherine Kathungu, a évoqué la question de droit d’auteur lors de son discours sur la journée mondiale de l’art, le 15 avril dernier. Elle a rassuré être défenseure des droits humains et qu’elle est préoccupée par la question.

« Au ministère de la Culture, Arts et Patrimoines, je suis très avancée dans la question des droits d’auteurs et droits voisins mais aussi, l’éthique dans nos Arts et la vie des artistes. Je voudrais vous rassurer que je suis défenseur des droits humains et les droits des artistes sont aussi les droits de l’homme ».

Réformer la loi sur le droit d’auteur

La loi qui garantit la protection des œuvres de l’esprit en RDC date de l’époque du zaïre. L’évolution est telle qu’elle ne suffit plus à couvrir la réalité actuelle, d’où le besoin de réforme qui ne fait que durer.

« Sur la politique des droits d’auteur, il est important que la loi soit changée. Elle date de 1986, à l’époque, il n’y avait même pas de CD. Dans cette loi, on parle de cassettes et des choses qui n’existent plus aujourd’hui. On ne parle pas de streaming ou des questions de la distribution en ligne. La loi sur le droit d’auteur doit être réformée mais en connivence avec la politique générale de la culture », a souligné Augustin Bikale, répondant à une question d’ACTUALITÉ.CD, ajoutant que la politique du livre, de la musique ou d’autres œuvres passe par la politique culturelle nationale. 

Selon lui, le gouvernement devait faire en sorte que les taxes perçues sur l’importation des objets de stockage et autres puissent arriver chez les créateurs des œuvres.

« Le droit d’auteur, c’est pour appuyer la créativité, ça signifie que le créateur est rémunéré parce que son œuvre est consommée. À travers le mécanisme qui est mis en place, le consommateur paie parce que l’auteur de l’œuvre répond à ses attentes », conclut-il.

Chaque année, le 23 avril est célébrée comme journée mondiale du livre et du droit d'auteur dans le monde entier. La journée est soutenue par l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). « Lisez, pour ne jamais vous sentir faible » a été retenu comme thème de cette année. Il vise à élargir le train en marche de la lecture et à reconnaître le spectre des livres.

Emmanuel Kuzamba



C'est depuis le 30 mars dernier que le ministre de l'Économie Nationale, Jean-Marie Kalumba Yuma, a été déchu par l'Assemblée nationale notamment pour incompétence. 

Le président de la République démocratique du Congo, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, avait par la suite pris acte de cette déchéance. 

Selon une source proche du Gouvernement qui s'est confiée ce samedi 23 avril 2022 à 7SUR7.CD sous anonymat, le premier ministre Jean-Michel Sama Lukonde a, depuis, désigné le ministre des finances Nicolas Kazadi pour assurer l’intérim de son collègue de l'Économie déchu.

Pour rappel, le ministre de l'Économie a introduit une requête à la Cour Constitutionnelle pour contester sa déchéance. Cependant, son regroupement politique, l'Alliance des Forces Démocratiques du Congo et Alliés (AFDC-A), n'a pas du tout apprécié cette démarche. 

Via une correspondance parvenue vendredi dernier à 7SUR7.CD, la présidente dudit regroupement a donné 2 jours à Jean-Marie Kalumba pour retirer sa requête.

Marie-Jacqueline Rumbu a fait remarquer à Jean-Marie Kalumba que dans sa démarche de saisir la justice, aucune instance de l'AFDC-A, encore moins son autorité morale et président national statutaire, le sénateur Modeste Bahati, n'a été saisie au préalable ni autorisé cette saisine.

Jephté Kitsita



Le dialogue consultatif entre la présidence de la République et les groupes armés a finalement débuté ce samedi à Nairobi. 

A peine lancé, il connaît déjà quelques couacs. La présidence de la République a annoncé qu’en pleines consultations, les participants ont été surpris de la reprise des hostilités par les M23/Makenga dans l’Est de la RDC. La partie gouvernementale a ainsi exigé et obtenu de la facilitation kényane l'expulsion de ladite aile. Les travaux vont se poursuivre avec l’aile Runiga basée au Rwanda, disent les sources congolaises.

Selon les informations de bonnes sources, l’aile Bisimwa/Makenga est représentée par trois délégués qui ne pourront reprendre les travaux qu'après la cessation des hostilités et le retour de leurs combattants dans leur position d’avant dialogue. 

Des représentants d’autres groupes armés venant de l’Ituri et de deux Kivu arrivent à partir de samedi soir. Une autre vague est attendue dimanche, d’après la facilitation kenyane.

La délégation congolaise est conduite par un trio d’experts mis en place par Félix Tshisekedi. Serge Tshibangu, mandataire spécial du chef de l’Etat, Claude Ibalanky du mécanisme national de suivi de l’accord de Nairobi, et le Général François Kabamba, conseiller militaire du président de la République, forment cette équipe. 

Les travaux se déroulent en présence de deux délégués de chaque pays signataire du communiqué final du deuxième conclave sur la sécurité en RDC. Il y a également l’EAC et l’ONU qui participent à ces discussions comme observateurs dans ces échanges dont la durée n’est pas encore connue. Ces négociations sont considérées comme celles de la dernière chance. En cas d’échec, l’option militaire sera alors enclenchée avec la force sous régionale (à mettre sur pied).

Il y a lieu de s'interroger pourquoi le Rwanda ne dialogue pas avec le FDLR ni l'Ouganda avec les ADF ? 

actualite.cd/CC

A Propos

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Ali Kalonga

Directeur de la Rédaction

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