Victoire d’Aphrodite
Vous, dieux anciens, qui sur le cœur de tout mortel,
Avez écrit pour battre à jamais le rappel,
Qu’il est des richesses, qui forment un trésor,
N’étant pas le métal, qu’indique le mot « or »
Mais la voix si chère, qui murmure un « Je t’aime ! »,
Dans lequel monte la ferveur d’une âme humaine !
Car rien n’est si beau, ni ne porte au sublime
Que la force vive, que sert la noble rime,
Une force folle, qui étreint un corps nu,
Unissant dans un tumulte encore inconnu
Cet intense bouillonnement de deux esprits,
Etant l’un de l’autre complètement épris
L’argent n’achète que le corps, pas la passion,
Qui ravit, transporte et annonce l’ascension
D’un élan exceptionnel, d’un amour sans fin,
Qui fraye vers les amants un vaste chemin !
Ô amour, quel que soit le nom, qui te désigne,
Au fil de l’histoire qui montre plus d’un signe,
Ishtar, Aphrodite, … tu étends ton empire
Auprès de plus d’une âme éprise, qui soupire !
Saïd Kalonga
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Dépêches
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